Il est vrai que nous connaissons la capacité de la République à faire le mal et que plus rien ne peut nous étonner.

Mais si nous sommes convaincus que rien de bon ne peut sortir de pareilles institutions, force est de constater que le personnel politique ne manque pas d’imagination et excelle dans l’infamie.

En effet, au florilège des méfaits républicains de ces derniers temps, on retiendra surtout l’unanimité avec laquelle les députés ont voté le 2 juin dernier, la proposition de loi de Gabriel Attal : élever Dreyfus au grade de général ! (Et pourquoi pas au grade de maréchal de France puisqu’on y est ?) Véritable union parlementaire dans la trahison, cet acte, quoique n’ayant rencontré que très peu d’écho, en dit long sur l’état de putréfaction avancé du régime.

D’abord (cela saute aux yeux de tout patriote de bon sens) : par cette législation, les misérables laquais de Tel-Aviv qui prétendent représenter les Français nous donnent raison : il n’y a pas en République de séparation entre l’État et la Synagogue. Cette élévation de Dreyfus au grade de général de brigade montre que « l’Affaire » est loin d’être terminée.

« Le capitaine Dreyfus est bien plus grand que le capitaine Bonaparte. Il a conquis la France et il l’a gardée », écrivait Louis-Ferdinand Céline (1).

Chaque nouvelle revanche de Dreyfus doit renforcer encore davantage notre volonté de libérer la France de cette immonde République, règne de l’étranger. Il fallait voir d’ailleurs quel était l’enthousiasme des élus de la droite casher de Marine Le Pen, si prompts à se présenter continuellement comme les derniers remparts de l’honneur français… Rien n’est plus insupportable que de voir ce parti de renégats acheter aux bourreaux de Gaza un électorat au prix d’un silence complice, celui du sang de l’innocent.

Jamais nous ne répéterons assez le danger que constituent les fausses oppositions républicaines, qui entretiennent l’espoir d’une renaissance française par les urnes et qui gaspillent l’argent, les énergies et le peu de temps qu’il reste aux Français pour sauver ce qui peut encore l’être. Ces fausses oppositions font en réalité partie du problème. Notre travail doit aussi et surtout consister à casser ce rêve démocratique des Français et à dénoncer l’imposture des partis, quels qu’ils soient.

« La Maçonnerie, (…), a peu à peu accaparé, confisqué la République qui est devenue sa chose, sa vache à lait, sa métairie. Et c’est ce qui explique que les ——, maîtres de la Maçonnerie, soient par là même maîtres de la France », écrivait Édouard Drumont (2).

Les États confédérés que l’Action Française dénonce et combat ne sont pas un mythe : la réalité saute aux yeux. La France est occupée et Dreyfus est plus présent que jamais. La seule manière de le combattre efficacement est d’en finir avec la République, ce cancer qui ne cesse de métastaser.

1- Bagatelle pour un massacre, 1937

2- La Tyrannie maçonnique, 1899

LA RÉDACTION

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