Communiqué de l’Action Française : la tribune des militaires
« L’heure est grave, la France est en péril, plusieurs dangers mortels la menacent ». Tribune des militaires
Le soutien de 60 % des Français à la tribune courageuse et clairvoyante récemment signée par un certain nombre de généraux et de militaires, relative au délitement de la France est un désaveu pour la république.
« L’heure est grave, la France est en péril, plusieurs dangers mortels la menacent (…) Par contre, si rien n’est entrepris, le laxisme continuera à se répandre inexorablement dans la société, provoquant au final une explosion et l’intervention de nos camarades d’active dans une mission périlleuse de protection de nos valeurs civilisationnelles et de sauvegarde de nos compatriotes sur le territoire national. On le voit, il n’est plus temps de tergiverser, sinon, demain la guerre civile mettra un terme à ce chaos croissant, et les morts, dont vous porterez la responsabilité, se compteront par milliers. » Extrait de la Tribune.
Castex, Schiappa, Parly, Mélanchon et bien d’autres estiment cette tribune « contraire à l’honneur ». Or, nous constatons que cette tribune fait plus d’émoi dans le débat public et auprès des ministres que l’insécurité criminelle rampante et la présence en France du fanatisme islamique. Cette tribune n’est pas un appel au putsch mais à la sécurité. Il s’agit du cri de cette France qui n’entend pas disparaitre.
Incapable de supporter la moindre critique, la Macronie panique et le Général Lecointre, chef d’Etat-Major des armées va traduire les signataires de la tribune devant un tribunal militaire. Ce sinistre individu rappelle un de ses prédécesseur, Ailleret, massacreur de la rue d’Isly et servile exécutant de l’abandon de l’Algérie Française.
A l’heure où la nation est menacée de disparaitre, les patriotes et tous les Français de bon sens doivent replacer le politique au centre. La république qui gouverne mal mais de défend bien est incapable d’assurer la pérennité de la France. Le salut national ne peut dépendre de l’élection : le temps doit être au vrai changement… avant qu’il ne soit trop tard.
A bas la république et vive le roi.
Communiqué du Comité Directeur de l’Action Française.