1 – La vaccination est la seule solution contre ce virus : FAUX
Jamais dans l’histoire de la médecine une épidémie n’a été jugulée par un vaccin ! Surtout que, contrairement aux contre vérités rabâchées par les médias, des traitements efficaces existent, que ce soit en préventif (renforcement du système immunitaire par les vitamines C, D et le zinc) ou en curatif (association Ivermectine, Azythromycine et zinc).
2 – Les vaccins anti COVID sont sûrs et sans danger : FAUX
Contrairement à tous les vaccins classiques et éprouvés déjà utilisés, les vaccins «génétiques» anti-Covid font appel à des technologies nouvelles (ARN messager,ADN à adenovirus recombinant) dont on ne connait absolument pas les effets à long terme sur l’organisme.
Par conséquent l’autorisation de mise sur le marché qui a été accordée à Pfizer, Moderna, AstraZeneca et Johnson & Johnson en procédure accélérée par l’Agence européenne des médicaments (EMA) n’est que conditionnelle. A titre d’exemple aucune étude de cancérogénicité n’a été réalisée pour ces différents vaccins.
Or, depuis le début de la vaccination, les effets secondaires graves et les décès suspects sont en très forte augmentation. A titre d’exemple aux USA il n’y avait que 25 morts par an liés à tous les vaccins, alors qu’après six mois de vaccination anti-COVID on dénombre 9000 morts, soit 360 fois plus ! Sans compter les 450 000 effets secondaires graves…
Donc, contrairement à ce qu’on vous affirme, les risques sont donc bien plus grands que les bénéfices chez les personnes de moins de 60 ans !
3 – Les vaccins anti COVID sont efficaces contre tous les variants : FAUX
La preuve en est que dans les pays où la majeure partie de la population a été vaccinée (Israël, Grande Bretagne, Malte, Chili) l’épidémie ne recule pas, bien au contraire, malgré la période estivale moins propice au virus.
Ces nouveaux vaccins ne visent en effet que la protéine Spike du virus d’origine, qui a depuis disparu et a été remplacé par des variants, avec justement pour le dernier en date, le Delta, de nombreuses mutations sur cette protéine Spike, ce qui entraîne ipso facto une bien moindre efficacité des vaccins. Ainsi dans les pays cités ci-dessus, il y a autant de cas de personnes vaccinées que de personnes non vaccinées !
4 – Les vaccins anti COVID protègent contre les formes graves : FAUX
Cette affirmation répétée en boucle n’a jamais été validée par la moindre étude.
Les données fournies par les laboratoires montrent en fait que :
– leur efficacité a été démontrée uniquement pour les formes bénignes à modérées;
– elle n’a été démontrée ni pour la prévention des formes graves avec hospitalisation, ni a fortiori pour les formes mortelles, ni pour les personnes de plus de 75 ans;
– aucune donnée n’est disponible concernant la prévention de la transmission du virus chez les personnes vaccinées, ni sur la persistance de l’effet du vaccin au-delà de trois mois, ni sur l’efficacité sur les variants du virus.
5 – La vaccination de tous permettra d’atteindre l’immunité collective : FAUX
En réalité cette fameuse immunité collective ne pourra jamais être atteinte, pour plusieurs raisons :
– l’immunité conférée par ces vaccins est beaucoup moins durable qu’espérée. Le temps que tout le monde soit vacciné, les premiers seront à revacciner, cela devient une course sans fin.
– les coronavirus mutent en permanence et les vaccins actuels ont une cible trop étroite, la protéine spike, celle justement qui mute le plus (voir & 3);
– et enfin parce que ces vaccins n’empêchent pas d’être contaminé, ni surtout de contaminer les autres, rendant cette immunité collective illusoire.
6 – Les personnes non vaccinées transmettent plus le virus que les personnes vaccinées : FAUX
Autre affirmation qui n’a fait l’objet d’aucune étude scientifique. Et si les fameux vaccins étaient si efficaces, pourquoi les personnes vaccinées craindraient-elles d’être contaminées par les non vaccinées ? Et pourquoi leur impose-t-on de continuer à respecter les fameux «gestes barrières», si ce n’est parce qu’elles continuent à transmettre le virus elles aussi !
7 – La vaccination obligatoire peut être imposée par une loi : FAUX
Les vaccins actuels sont en phase III d’essai clinique sur des volontaires en bonne santé, qui doivent par conséquent faire valoir leur « consentement libre, éclairé et exprès ».
Donc, même si le gouvernement faisait voter une loi obligeant toute ou partie de la population française à se faire vacciner, elle serait annulée en justice car en contradiction avec le Code de Nuremberg de 1947, la loi Huriet-Sérusclat du 20 décembre 1988, la loi Kouchner de 2002, la Convention d’Oviedo de 2012 et enfin la récente décision du Conseil de l’Europe qui déclare, dans sa résolution 2361/2021 du 27.01.2021, que personne ne peut être vacciné contre sa volonté, sous la pression.
MAIS Tous les médecins qui défilent sur les plateaux télé et à la radio sont «subventionnés» par les grands groupes pharmaceutiques.
A titre d’exemple la moyenne des sommes perçues par les 96 signataires de la pétition pour une vaccination obligatoire est de 125 000 euros. L’industrie pharmaceutique est, avec l’industrie de l’armement, celle qui pratique le plus la corruption et, comme par hasard, Pfizer, Moderna, AstraZeneca et Johnson & Johnson ont déjà été condamnés pour corruption.