Défilé de 10h interdit remplacé par un rassemblement statique devant la Statue à 12h45
Alors que depuis 60 ans, les Nationalistes ont toujours honoré la sainte de la Patrie, en ce deuxième dimanche de mai, par un défilé suivi d’un dépôt de gerbe florale, cette année, la préfecture de police parisienne a prétendu nous interdire de participer à cette fête.
Rappelons que depuis 1921, à l’initiative de Maurice Barrès, la fête de Sainte Jeanne d’Arc est l’égale, en solennité, du 14 juillet des révolutionnaires, aux yeux mêmes de leur république.
Rappelons que tous les ans, sauf en 1990, après la profanation du cimetière de Carpentras, les nationalistes ont emprunté le même itinéraire, depuis Saint Augustin, l’église de la Madeleine ou la place Maurice Barrès, jusqu’à la statue de la place des Pyramides.
Rappelons enfin que ce défilé était, tout aussi traditionnellement, suivi d’un banquet de l’amitié nationaliste.
Cette année, la préfecture de police a tenté d’imposer aux Nationalistes des horaires et un parcours totalement incompatibles avec la tradition et la bonne organisation de l’événement.
C’est donc à un rassemblement statique, à compter de 12 heures 45, devant la statue de la sainte de la Patrie, place des Pyramides, que nous convions tous nos amis et camarades de France et d’Europe, pour montrer que les obstacles dressés par ceux qui préfèrent servir un régime de l’instant que la Partie de toujours ne nous feront jamais ni céder, ni renoncer !
Qui vive ? France !