Ces tentatives se répartissent entre les inséminations intra-utérines pour 29% d’entre elles, les fécondations in vitro avec micro-injection (ICSI) ou sans micro-injection qui représentent 67% des tentatives, et les décongélations d’embryon pour les 4% restants.
Dans 96,4% des cas, les tentatives de PMA sont réalisées avec les gamètes des deux membres du couple. Les autres sont effectuées avec les ovocytes d’une donneuse (1614 tentatives en 2020), avec les spermatozoïdes d’un donneur (3248 en 2020), ou enfin avec des embryons issus d’un don. 156 embryons ont été ainsi décongelés en 2020.
Ces 123.174 tentatives ont abouti à la naissance de 20.223 enfants nés vivants, dont près de 5% après un don. La promesse d’un enfant ne s’est ainsi concrétisée que dans 16,4% des cas. Mais les couples qui s’engagent dans ce parcours éprouvant sont-ils prévenus ?
Dans plus de la moitié des tentatives des embryons sont congelés. Au 31 décembre 2020, ils étaient 265 489 à être stockés. Chaque année, les couples dont sont issus ces embryons sont interrogés sur leur souhait de poursuivre ou non la conservation. En 2020, 75,6% des embryons congelés faisaient l’objet d’un “projet parental” (200 623 embryons issus de 68 271 couples). Pour 11,8% des embryons conservés, le couple n’en avait plus. 31 251 embryons, destinés à être accueillis par un autre couple, donnés à la recherche, ou bien détruits. En 2020, près d’un quart des couples aura choisi d’abandonner ses embryons “surnuméraires” à la recherche.
Source : Le salon beige
Stains constat fourni en nombres.
Il était une fois une ville qui allait s’occuper de naissances naturelles, foi de Khadyja.
Ah, cette ville… d’où venait précisément une femme, une cheffe wallah, remplacée pendant le ramadan durant lequel elle rentrait au bled. Bien pénible et castratrice à souhait durant la période de passage d’instruction ante-ramadan. Il aurait été assez naturel de la remettre en place si elle n’avait à demi-mot suggéré qu’en cas de contestation elle appellerait son frère (comme quand j’étais môme), et surtout si l’ensemble du site de travail n’avait été rempli de … cokhadyjonnaires.
Allah Baba et les 40 djihadistes, qui voient tout car cela leur est aisé, savent que mon histoire n’est pas inventée.
Chui pas comme Azzedine, j’veux rester ici, en France, comme quand j’étais môme.
Admiration, en tout bien tout honneur, pour les hommes qui ont inquiété les adorateurs du meurtrier en série Mahomet.
Je leur souhaite également de garder la raison et leurs capacités intellectuelles, afin que ne soit pas ajoutée, à la tristesse de voir notre pays offert à l’islam, la folie à laquelle peut mener la passion de l’action.
Action et tête froide. Stains bon projet.
Toutes ces préoccupations natalistes ne sont rien à côté du fait que le maire de Stains ait osé islamiser une rue de la ville de Stains du nom de la première femme du faux prophète meurtrier multirécidiviste à tendance pédophile – Mahomet.
(Peut-être que cela va passer la censure comme ça.
Oui, il y a de la lâcheté dans le relatif anonymat. Pour rappel, un Français, aussi peu lâche soit-il face à toute racaille, se doit de redouter les autorités françaises actuelles – oui, le véritable ennemi des Français sont bel et bien les autorités françaises actuelles, sous-fifres d’administrateurs défrancisant et communautaristes.
Dites aux zumulmans qui viendraient vous voir que c’est l’idiot du village qui a posté cela; je ne vous en voudrai pas. Les luttes de pouvoir, c’est bien zumain, et cela permet de réussir dans la vie)