La destruction de la population et de la civilisation européennes est désormais une réalité incontestable, et connaît même une accélération fulgurante d’année en année. La situation est si grave qu’il est désormais vital de s’attaquer aux diverses causes de cet auto-génocide européen, et notamment au fanatisme écologique dont la responsabilité est grandissante.
Selon les dernières données d’Eurostat, le nombre de décès au sein de l’Union européenne (UE) a dépassé celui des naissances de 1,231 million d’individus en 2021. Hors immigration de remplacement, la population de l’UE a donc baissé d’autant, soit l’équivalent de douze villes de 100 mille habitants qui auraient été rayées de la carte, ou encore de près de neuf bombes atomiques d’Hiroshima qui auraient été larguées (cette bombe ayant fait environ 140 mille morts au total).
Visible depuis 2012, année à partir de laquelle les décès commencèrent à dépasser les naissances, mais enclenché dès les années 1970 avec le passage du taux de fécondité européen global en dessous de seuil de renouvellement des générations de 2,1 enfants par femme, le processus de destruction de la population et de la civilisation européennes suit son cours, et se caractérise même par une terrifiante accélération d’année en année, avec un triplement ou quadruplement du rythme tous les trois ans. En 2012, le déficit démographique n’était ainsi que de 23 700, avant de passer à 154 700 en 2016, puis à 484 400 en 2019 et à 1 231 400 en 2021. Aujourd’hui, ce sont ainsi 18 des 27 pays de l’UE qui affichent un solde négatif, comme l’Italie voisine où il s’est établi à non moins de 309 600 en 2021. Et il en sera de même bientôt pour la France, la soi-disant « championne » de la natalité en Europe, mais qui n’est autre, avec son taux de fécondité inférieur au seuil de renouvellement des générations depuis 1975 (soit depuis 47 ans !), qu’un cancre parmi d’autres…
Le processus d’auto-génocide européen est désormais une réalité, que nul ne devrait plus pouvoir nier impunément. Aujourd’hui, et toutes proportions gardées, la destruction de la population européenne se déroule d’ailleurs presque au même rythme que la Shoah, qui avait causé la disparition de près six millions de juifs en quatre ans. Et assez bientôt, et même en maintenant le taux de fécondité global de l’UE à son niveau actuel de 1,5 enfant par femme, ce processus se fera à une vitesse de presque une Shoah tous les deux ans. À ce rythme, notre civilisation aura en grande partie disparu de la surface de la terre à la fin du siècle, avec à la clé de terribles conséquences géopolitiques, voire territoriales.
L’urgence n’est donc pas climatique, mais bel et bien démographique, n’en déplaise aux fanatiques de l’écologie, de plus en plus responsables de ce processus d’extinction démographique et cultuelle. En effet, le matraquage est tel, qu’une étude internationale publiée en septembre 2021, par la revue britannique The lancet planetary health, constatait que 37 % des jeunes français âgés de 16 à 25 ans hésitaient à avoir une descendance pour des raisons écologiques. Pourtant, et même si notre planète souffre d’un certain nombre de maux, la réalité est que seule une infime partie de son potentiel en énergies renouvelables est aujourd’hui exploitée, de même qu’une infime partie de ses ressources minières et fossiles. De plus, et malgré les vastes espaces non encore exploités, et la stabilisation prochaine de la population mondiale, les avancées scientifiques sont permanentes en matière d’agriculture (comme avec l’aéroponie, qui permet un rendement à l’hectare près de 80 fois supérieur, sans terre, soleil ni pesticides !), en matière d’architecture, de transports, ou encore de traitement des déchets. Et tout cela, sans même parler des perspectives infinies qu’offre l’univers…
Il est donc bien naïf de s’imaginer que notre planète est surpeuplée, que l’humanité sera bientôt à court de ressources, ou que les déchets nucléaires ont vocation à être stockés ad vitam aeternam sur notre planète (si tant est que la problématique continue à se poser, le prix Nobel français de physique, Gérard Mourou, affirmant qu’il devrait prochainement être possible d’en réduire la durée de radioactivité à seulement 30 minutes…). Quant au réchauffement climatique, la hausse attendue des températures ne fera que redonner à la France le climat qui était le sien à aux époques de Charlemagne et de l’empire romain (ou d’Astérix et d’Obélix), elle mêmes séparées par un refroidissement climatique, accompagné de terribles catastrophes naturelles et que nos ancêtres prenaient parfois pour une malédiction.
La gravité de la situation est telle, qu’il est désormais vital de s’attaquer aux diverses causes de cet auto-génocide européen. Et notamment en ne laissant plus médiatiquement le champ libre aux talibans de l’écologie, héritiers spirituels des prophètes de l’apocalypse et des théoriciens de la surpopulation humaine, auxquels l’Histoire a toujours fini par donner tort, faute d’avoir correctement apprécié le potentiel de la Terre et le génie humain. Pour paraphraser partiellement un ancien président de la République française, ce ne sont pas seulement quelques forêts au loin qui brûlent, et qui se régénéreront assez rapidement, mais notre maison même qui brûle. Et nous regardons ailleurs…
Centre d’étude et de réflexion sur le Monde francophone
« …talibans de l’écologie »: je suggère: « imams de l’écologie ». En effet:
-Pourquoi ne pas employer des mots évoqués par nos réalités locales?
-Ce n’est pas un hasard si des musulmans, dont de nombreux Français se désintéressent magnifiquement de savoir s’ils sont sunnites ou ayatollamanites, désignent les environnementalo-politiciens par le terme d' »ayatollahs ».
-De passage devant une école du ninety-three on the Planet Great Again, en 2017, j’ai pu écouter les chansons passées lors de ce qui était alors la fête du dernier jour de l’année scolaire: toutes les chansons étaient en arabe; aucune en pashtoun.
« 37 % des jeunes français âgés de 16 à 25 ans hésitaient à avoir une descendance pour des raisons écologiques »: Qu’ils, elles ne veulent pas avoir de descendance, peut-être, mais pour des raisons écologiques? Ou parce qu’ils, elles, s’avouent intimement qu’ils, elles ne pourront assurer à leurs enfants la vie a minima pas trop sauvage qu’ils elles ont connue?
Et puis, dans une society toujours plus ostensiblement sexualisée, où même (vé! cul!) un pré-entretien d’entrée en stage de new horizons professionnels peut commencer par {« Vivez-vous avec une femme? Avec un homme? Et avant? »}, il serait écologique de ne pas faire d’enfant volontairement…?
Espérons que toutes ces braves bêtes, tant mâles que femelles, vont bien trier leurs productions sexuelles d’une part, les ustensiles périssables utilisés à l’occasion d’autre part, dans les bacs à déchets organiques de leurs quartiers, ou dans la poubelle de couleur convenable pour le reste.
Ceci émis, il n’est pas nouveau que certaines « féministes » en jupes vertes Islam, drapées d’une islamophilie qu’elles pensent être idéale parure pour combattre tant le patriarcat historique français qui a opprimé toute la chaîne de leurs aïeules (les cas échéant), qu’également les esclavagistes et colonialistes mâles blancs de 50 ans (les cas échéant, ceux des désavantagées cérébrales qui ignorent, ou des malhonnêtes qui feignent d’ignorer, que l’immense majorité des blancs, ne serait-ce qu’au 19 -ème siècle, étaient socialement dominés dans leur propre société), ne désirent pas d’enfants.