DEPUIS LE 31 DÉCEMBRE 1960, le président de la République en exercice (il y en a eu huit en tout de De Gaulle à Macron) a présenté chaque année ses vœux aux Français à la télévision à l’occasion de la Saint-Sylvestre. Cet exercice convenu, qui en était à sa 63e édition consécutive, et où se mélangent platitudes, lieux communs, autosatisfaction, vagues promesses et mensonges actifs a pris un tour particulier avec Macron qui a fortement allongé la durée de la prestation télévisuelle annuelle tant il est incapable de faire une allocution de moins de 15 à 20 minutes, même pour la présentation de vœux, là où un Pompidou par exemple ne parlait que trois à quatre minutes à peine. C’est une évolution fâcheuse car la parole d’un chef de l’Etat se doit d’être rare, brève et forte, sinon ce qu’il dit perd de sa gravité et de sa solennité. Mais qu’attendre, il est vrai, d’un président de la République qui s’est souvent comporté de manière indigne, abaissant sa fonction, apparaissant il y a quelques semaines seulement, en bras de chemise, comme le plus excité des supporters avinés lors de la coupe du monde au Qatar où il avait fait le déplacement, le sport occupant désormais une place et une importance tout à fait déraisonnables dans notre société, recevant lors de la Fête de la musique en 2018 au Palais de l’Elysée des travestis de couleur dénudés, se flattant explicitement d’être « immigrés, noirs et pédés » ou se faisant complaisamment enlacer aux Antilles par un prisonnier mélanoderme au torse nu ?
Le président de la République a fortement insisté lors de ses vœux sur la nécessaire unité du pays, employant ce mot, unité, à maintes reprises. Mais qui porte régulièrement atteinte à cette unité nationale en insultant et en menaçant les millions de Français qui ne se sont pas fait injecter le “vaccin” anti-Covid (Macron, dans son allocution, a encore exhorté à se faire vacciner, évoquant sans rire le succès massif de la vaccination et taisant bien sûr les catastrophiques effets secondaires, parfois mortels, engendrés par la piqûre qu’on dit pourtant sans danger) ? Qui diabolise la colonisation, condamne l’être historique de la France, méprise les Pieds-Noirs et évoque les prétendus crimes contre l’humanité censément commis par notre pays en Algérie ? Qui s’en prend régulièrement au camp national et nationaliste en fustigeant ceux qu’il appelle les fauteurs de haine et de division, allant, dans certaines diatribes, jusqu’à les retrancher (ainsi que les non-vaccinés) de la communauté nationale ?
PAR AILLEURS, dans son allocution, la sixième consécutive depuis qu’il a été élu une première fois en mai 2017, il a osé déclarer qu’il faut « protéger nos enfants, protéger notre information libre et indépendante, l’ordre libre et juste qui permet aux citoyens d’être heureux : voilà quelques-uns des combats de notre époque. » Il faut une sacrée dose de cynisme pour oser déclarer de telles choses dans la présentation de ses vœux au pays pour l’année 2023 alors même que l’Assemblée nationale a déjà voté en novembre 2022 la constitutionnalisation du « droit à l’avortement » et que l’objectif du gouvernement est précisément d’inscrire dans la Constitution courant 2023 « le droit à l’interruption volontaire de grossesse », c’est-à-dire le droit d’éliminer froidement dans le ventre de sa mère un être humain innocent et sans défense. Comment, dans ces conditions, peut-on parler de la nécessité de protéger l’enfance, laquelle est de surcroît la proie de la massification et de la banalisation de la pornographie, un phénomène encore considérablement aggravé par la consultation intensive des réseaux sociaux et des smartphones ?
Dans le même ordre d’idées, qu’entend le président Macron quand il évoque le devoir de « protéger notre information libre et indépendante » ? De quelle liberté parle-t-il ? Quelle indépendance souhaite-t-il garantir ? Quand on voit qu’en 2022 l’agrément de la commission paritaire a été retiré coup sur coup, à six mois d’intervalle, à deux organes d’opposition, RIVAROL en mai et France-Soir en novembre, et cela sans le moindre fondement sérieux et objectif, on se dit que le chef de l’Etat se moque vraiment du monde. Car c’est précisément à l’espace de liberté laissé aux différentes oppositions et contestations que l’on mesure la bénignité d’un régime politique. Jugé à cette aune, le Système politique actuel est particulièrement répressif et liberticide alors même, et c’est un comble, qu’il se réclame sans cesse du pluralisme et de la liberté d’opinion et d’expression.
EMMANUEL Macron a par ailleurs fait l’apologie de la laïcité, qui est précisément l’idéologie mortifère qui détruit notre nation, la coupe de ses racines, de son être historique, de son héritage. Il en a profité pour évoquer brièvement la mort à 95 ans le jour même, le 31 décembre 2022 à 9h34, de Benoît XVI qui lui-même, en sectateur de Vatican II, s’est régulièrement fait le champion de la laïcité (nous reviendrons assez longuement sur cette personnalité, sur son parcours et sur son œuvre dans notre prochain numéro, après ses funérailles qui auront lieu au Vatican le jeudi 5 janvier, veille de l’Epiphanie).
Sans crainte de des contredire, et dans un clin d’œil aux électeurs et partis dits de droite, l’Elyséen a appelé à lutter contre l’immigration illégale et à protéger nos frontières tout en vantant l’Union européenne et en appelant au renforcement de cette structure supranationale et de son unité. C’est un non-sens. Ou, pire encore, c’est un fieffé mensonge. Car comment peut-on sauvegarder, protéger des frontières que l’on a perdues en intégrant l’Union européenne et en signant les accords de Schengen qui ouvrent notre pays aux capitaux, aux marchandises et aux hommes ? Et ce qui vaut pour les frontières physiques vaut également pour les frontières morales, l’Union européenne promouvant à outrance le LGBTisme, la contraception et l’avortement de masse. Parler de lutte contre l’immigration illégale est une vaste plaisanterie. On nous fait le coup régulièrement depuis une quarantaine d’années et rien jamais concrètement ne se fait. Il s’agit seulement de rassurer (faussement) et d’anesthésier les électeurs mais chacun sait ou devrait savoir que les étrangers entrés illégalement sur le territoire national ne sont jamais, sauf rares exceptions, renvoyés dans leur pays d’origine. Dès qu’ils ont posé le pied sur le sol national, ils sont quasiment certains de ne plus jamais avoir à le quitter effectivement, et ce quels que soient les délits ou les crimes qu’ils commettent.
PAREILLEMENT, lorsque Macron parle de planification écologique et d’agenda 2030, on peut à bon droit craindre le pire. C’est en effet la porte ouverte à de nouveaux impôts, de nouvelles taxes et de nouvelles restrictions de libertés. Ne parle-t-on pas ici et là de l’instauration d’un « pass carbone » comme il y a eu un pass sanitaire et un pass vaccinal ? Ces derniers n’étaient-ils pas des ballons d’essai pour peut-être nous conduire à accepter demain ou après-demain de nouvelles et effrayantes restrictions de liberté ? De toute façon, lorsque Macron apparaît à la télévision, c’est presque toujours pour annoncer, commenter ou analyser des crises et des catastrophes. Et cette fois-ci n’a pas fait exception à la règle puisqu’il a évoqué, fût-ce brièvement, en passant, l’air de rien, de possibles coupures d’électricité en 2023 dans notre pays, tout en restant vague et en se voulant rassurant, une hausse des prix de l’énergie, une montée de l’inflation, la poursuite de la guerre en Ukraine, et même le risque de guerre nucléaire, et la forte possibilité d’une grave crise alimentaire, même s’il n’a pas prononcé à dessein le mot de famine. L’idée y était cependant. Faire peur aux peuples, leur annoncer des catastrophes, vraies ou fictives, provoquées ou non, est un moyen puissant et efficace de les domestiquer, de les manipuler et de les euthanasier. Un peuple apeuré, tétanisé ne se révolte pas. Pis, il ne réfléchit pas.
MALGRÉ une situation chaque jour plus dégradée et un avenir qui s’annonce fort peu joyeux, bien que de bonnes surprises soient toujours possibles, nous présentons, à l’orée de ce nouveau millésime, tous nos vœux à nos lecteurs, leur souhaitant pour eux et leur famille le meilleur. RIVAROL sera là, cette année encore, si Dieu veut, pour débusquer les mensonges, flétrir les impostures, dénoncer les malfaisants qui nous oppriment et défendre dans tous les domaines le beau, le bien, le vrai. Que Dieu vous et nous garde ! Courage et persévérance !
Bonne et sainte année à tous !
RIVAROL, <jeromebourbon@yahoo.fr>
“La verbalisation du sentiment d’injustice criante que produit la préférence étrangère [est]réprimée. Ces sentiments, ces opinions, ces discours sont politiquement délégitimés, socialement tus ou déniés, moralement combattus et pourchassés, légalement interdits et privés d’espaces et de canaux d’expression par la censure que pratiquent les entreprises commerciales de presse ou les nouveaux médias sociaux.”, est-il écrit ailleurs sur ce site.
Oui, voire raillée.
Il me semble une erreur, mais cette pensée est peut-être une erreur, d’associer exclusivement à une communauté religieuse, et qui plus est, à l’ensemble des membres et sympathisants de cette communauté, la volonté de détruire l’idée d’appartenance à un pays avec l’identité, en termes de modes de vie et de valeurs, de ce pays.
Pour l’explication de la destruction continue de ce dernier:
Ce que les multiculturalistes humanistes anxieux de voir subsister ou ressusciter ce qui, croient-ils, les dégoûtent, à savoir l’immonde sentiment d’appartenance à une identité nationale, n’ont pas compris:
Déjà, sur des surfaces grandes et connexes du territoire Français, certes la population ne se solidarise pas autour de cette identité, mais ces sous-groupes, d’identités tantôt religieuses, tantôt extranationales, se fédèrent informellement et se solidarisent contre leur unique ennemi: le français qui d’une part considère, tente de considérer encore, son identité nationale au-dessus de toutes las autres, et d’autre part, parle encore français comme langue exclusive sous son toit.
L’enjeu de ces destructeurs: faire de la France, un terrain de devoirs affaiblis, de respect affaibli pour l’Autre, de droits augmentés, voire de marché noir et d’extorsion.
Parallèlement, des jeunes “intellectuels” qui se prennent pour l’avant-garde de l’Humanité, dont certains vont même jusqu’à poster sur leurs profils LinkedIn le dernier sauvetage d’un bateau de migrants après avoir créé leurs entreprises en pays socialement moins avancés, i.e. avoir brillamment initié leurs capitaux à coup de dumping social planétaire, condamnent le sentiment, la volonté d’entretenir le sentiment, d’appartenance à un pays et son identité nationale.
Comme si étaient plus moral le sentiment, la volonté d’entretenir le sentiment, d’appartenance à une communauté extranationale, une communauté religieuse, ou même le djihad.
La verbalisation, c’est aussi simple que cela.
Mais après tout, peut-être que, de la même façon que nous aurions la droite la plus bête du monde, nous avons l'”extrême-droite” la plus nulle de la Galaxie.
Et, accessoirement, de nous souvenir que si nous sommes sous le joug du gigolo à cougar incestueuse, et de ses porcs, frères d’espèces, c’est parce que des trop sûr(e)s d’eux ont laissé la crucifixion politique d’un certain F F s’opérer en 2017, quoi que soit pensé de ce dernier.
Le gigolo à cougar incestueuse qui va serrer la main du satyre corrompu ayant mis le feu aux poudres en Europe n’est pas aussi regardant des affaires de ce dernier qu’il fut obstiné contre FF pour des costards et un livre payé à hauteur d’un caesar (?) à ses femme et fille.
Quant à espérer que la France se retrouvera uniquement avec 1000000 d’enfants en 10 ans et sans rapport de force, j’y crois comme Alice au Pays des Merveilles car nous sommes dans un pays où un gigolo peut inviter à l’absence de division après s’être étonné qu’un jour, les Champs-Élysées en pétards enflammés, il ait failli être évacué comme les Beatles, …
bien qu’il eût déclaré: “Qu’ils viennent me chercher!”
Ce qui se passe dans la tête du Porc? Le Porc n’a pas compris que le dicton “La dictature, c’est ferme ta gueule, la démocratie, c’est cause toujours” ne protège un Porc, par sa garde lourdement armée et aux gilets pare-balles dernier cri, qu’à condition de ne pas être un véritable PORC.
La verbalisation de la livraison du peuple français, livraison à sa dissolution et son patricide, commence donc à se faire.
Elle est moins chaotique, elle reprend son souffle et arrive même parfois à émettre en se passant d’un humour trop cinglant, une ironie trop systématique qui est aux réquisitoires qui en sont imprégnés ce que l’acide lactique est à une bonne oxygénation.
Elle percole ici et là, bien que souvent encore exclusivement sur des supports « extrémistes » qui seuls l’accueillent (et c’est bien le fruit de la stratégie Renaissancienne, qui prétend implicitement que la modification de l’Échiquier politique, qui ne compterait désormais que les Raisonnables d’une part et les Nationaux-socialistes d’autre part, s’est faite spontanément, par l’opération du Populaire Esprit).
Mais cette percolation devient problématique pour Manu (j’ai passé mon bac) et sa bande de serviles et d’agents de la taqiyah.
Alors il faut essayer d’être un peu plus fin ; nouvelle trouvaille médiatique : Évoquer en grandes pompes, à ondes en ordre de marche, le Chant des Africains.
Il se trouve précisément que tout patriote, des plus distraits aux plus commémoratifs, aux plus quotidiens, connaissent ce chant.
Si une catégorie d’animal ne connaît pas ce chant ou vient donc d’en apprendre l’existence, c’est bien celle des wokistes tapageurs, philologues à la Malcolm Xéro, djihadistes sociaux, djihadistes économistes, djihadistes pédagogiques, terroristes djihadistes, français de papiers, communautaristes de toute obédience, personnes colorés racistes (pour rappel, Jean-Philippe Smet, alias Johnny Hallyday, avait remarqué, à une époque qui le lui permettait, dans une rock & roll attitude qui vaudrait aujourd’hui une mort sociale et une condamnation fatale, un septième jour d’une semaine qui en comptait sans surprise sept : « Ils sont plus racistes que nous »), et autre président ignorant l’existence d’une culture française.
Car, à titre d’illustration anecdotique, la vue du port d’un écusson bleu blanc rouge sur certains territoires de France (bien plus conquis par des sarrasins et des descendants d’anciens vendus à une minorité de trafiquants de main-d’œuvre esclavagistes par la multitude de leurs chefs tribaux africains {sûrement le fameux esprit d’entraide africain face à l’égoïsme blanc} que ne le sont certaines parties d’Ukraine par les Russes), cette vue – écris-je – est bien plus susceptible de déclencher la menace d’un francocide que d’évoquer les phrases suivantes :
« Car nous voulons porter haut et fier
Le beau drapeau de notre France entière
Et si quelqu’un venait à y toucher,
Nous serions là pour mourir à ses pieds
Battez tambours, à nos amours,
Pour le Pays, pour la Patrie, mourir au loin
C’est nous les Africains ! »
Dommage Manu…, ah c’était Gaby ? Yacine ? Bon, enfin bref, dommage, c’était bien essayé. Mais il va falloir se creuser un peu plus.
D’autant plus que nous ne sommes ni le 11 novembre (pour la 1ère version) ni le 8 mai, pour la seconde. Et sauf erreur de ma part, la 1ère Armée n’a pas apporté de présents à un nouveau-né en Galilée.
Erreur de calendrier, Manu.
Et si les tirailleurs sénégalais, Spahis, zouaves et compagnies avaient combattu pour servir d’alibi au bataclan, à Nice, à S Paty, à la tête d’un patron empalée sur une grille, au 11 septembre, à Nairobi, à la Gare saint Charles, aux escaliers de Rome de la Gare Saint-Charles, au marché de Noël de Berlin, de Strasbourg, aux viols de Nantes, au viol de Montluçon, au massacre par un “psychiatre” de GIs, à la décapitation d’un “collègue” au bureau (USA), à des décapitations en pleine rue (Australie), aux agressions sexuelles de Köln, à Notre Dame, aux Champs-Élysées, à Lola, à Toulouse, à Perpignan, and believe me on the Planet great again à des égorgements dans nos campagnes déjà dans les années 70, etc…, si donc c’était donc pour servir cet alibi, cela se saurait.
Cela se sait ? Alors je n’ai rien écrit.
Cela doit donc aussi servir d’alibi au fait qu’aux temps des conscrits, des petites racailles pouvaient être de fiers gradés du peloton et vendre leurs filtres marocains, curieusement couverts par des chefs aigris, des adjudant(s) ayant tatoué « honneur et patrie » sur leur avant-bras, et des capitaines abrutis. Les quelques lieutenants d’honneur qui se seraient bien fait ces racailles craignaient-ils l’infernal procès pour crime raciste ou percevaient-ils une menace de réseau auquel seul l’expérience d’un MP tel que Jack Reacher ( 🙂 )aurait pu s’attaquer ?
Non seulement les ennemis jurés d’une France trop ordonnée et pas assez soumise n’ont rien à voir avec le Chant des Africains, mais de plus, ce n’est pas l’uniforme qui fait le Français.
Mais pour ceux qui veulent se servir de l’Histoire Militaire pour servir leurs intérêts, rappelons a little anecdote on the Planet great again : Dien Bien Phu : Alors que dès les premiers jours, des soldats français sont morts, au bout d’un certain temps, des nord-africains se rendent de leur propre initiative à l’ennemi. Ce après quoi, les viets appellent au mégaphone, par leurs patronymes, les autres à se rendre… C’est ce qui s’appelle du renseignement efficace.
Je ne juge pas, mais le jeu des alibis par l’histoire des services militaires, cela peut vite croustiller sous la dent.
Sinon, à part cela, aux généraux en costards sur les plateaux BFM : ça va ? Café, jus d’orange, et petits fours ? Brossez-vous bien les dents quand même ; what a pity it would be otherwise, d’autant plus que manifestement, vous ne vous êtes pas fait casser les dents au front, ni au Bataclan ; je parie même que vous n’avez jamais été exposés à la racaille vindicative… Décidément, vous êtes de vrais gouguis, si je peux me permettre cette poucaverie.
Having said that, quand est-ce que Manu, Yacine B, Benalla and the BFM genetrolls come and inspect the toilets ?
(Il n’y a pas que des navets à Hollywood)
Hache anti-gros minet pi point. 3 double vé ! point tu tube point com slash watch?v=D3HLOkgzIPM&t=228s
(Excusez-moi monsieur le Juge, je suis sous l’emprise des Chokapiks)