Nous maintiendrons !
Nous connaissons la chanson : la République gouverne mal mais se défend bien.
La circulaire de Moussa Darmanin porte un coup sans précédent à nos libertés politiques, les préfets étant tenus d’interdire toute manifestation où serait présent le « risque de slogans ou propos de nature à mettre en cause la cohésion nationale ou les principes consacrés par la Déclaration des droits de l’homme ». Il va de soi que nous entrons dans une véritable tyrannie et que, par conséquent, les choses se compliquent : hommages à Jeanne d’Arc, colloques, banquets interdits… Le procureur de la république réclame même la liste des personnes présentes à notre colloque du 18 mars dernier, organisé au Kremlin Bicêtre à l’occasion des 70 ans de la mort du Maître. Si nous assistons à un véritable raidissement idéologique de la République (en témoigne aussi la vague d’inspections par l’éducation dite nationale des établissements scolaires hors-contrat), nous devons savoir raison garder. Garder, comme le disait feu notre ami Jean-Pierre PAPADACCI, le calme des vieilles troupes et ne tomber ni dans l’activisme stérile ni dans les illusions démocratiques des partis politiques. Cet ancien responsable de l’OAS métro, ce militant exemplaire qui avait été l’un des premiers à condamner l’entreprise de dédiabolisation de l’AF, en co-fondant « Amitié et Action Française », répétait à satiété que nous devions reprendre à notre compte cette belle devise des parachutistes « être et durer ».
Être ce que nous devons être : des Français pensant clair et marchant droit, sachant continuer l’oeuvre de nos maîtres qui nous ont transmis ce trésor d’intelligence politique qu’est l’Action Française. Jean-Pierre (ORSO) ne cessait de nous exhorter au réalisme politique : si nous ne sommes pas en position de force, nous sommes les derniers remparts de la Cité et cette responsabilité est grande. N’y a t’il pas toutefois quelques signes d’espérance ? N’y a-t-il pas de la part des Français un désintérêt croissant pour les partis politiques ? N’avons-nous pas vu près de 25 000 jeunes de France marcher sur les chemins de Chartres (les deux sens confondus) à la recherche du beau, du bon et du vrai ? L’engeance qui prétend nous gouverner peut bien nous persécuter ou nous dissoudre, jamais elle ne pourra supprimer notre état d’esprit.
« Par tous les moyens, même légaux ». Nous avons rejoint l’appel à la reconquête de nos communes lancé par l’institut CIVITAS. La commune, ce « carrefour social », n’est pas un rassemblement momentané de volontés mais une constante historique et sociale. Nous devons, par tous les moyens, tendre à éliminer le pays légal centralisateur et, par voie de conséquence, donner des moyens de lutter au pays réel. Voici de la politique concrète : en réalité, la majorité de nos compatriotes ne font de la politique que cinq minutes tous les six ans en votant pour les seules élections valables, les municipales. Nous encourageons de ce fait nos amis à se préparer et à s’investir en ce sens. C’est vital ! Travaillons sans cesse à politiser les inquiétudes des Français. Sachons aussi durant l’été prendre le temps de nourrir nos intelligences, (re)lisons nos maîtres, travaillons à expliquer à notre entourage la nécessité du politique d’abord, formons les plus jeunes et invitons les anciens à nous aider financièrement. Nous maintenons et nous maintiendrons coûte que coûte !
Clément Gautier
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Cela fait froid dans le dos. Est-ce à prévoir que nous n’aurons bientôt plus le droit d’appeler une ordure “une ordure”?
Car, parole de dignes travailleurs prêts à cotiser jusqu’à 67 ans, rappelons ou informons que lors du Grand Débat/Grande Consultation, des citoyens avaient donné de leur encre digitale avec un sérieux préservé de toute mauvaise passion (car son initiateur, un homme qui, dixit une internaute raffinée, avait noué des liens d’amour avec une aînée par 23 ans, devait sûrement avoir des qualités exceptionnelles, et de plus n’avait sûrement pas été élu pour cette raison) pour produire des textes qui décrivaient les situations complexes et marécageuses que subissaient des citoyens en demande d’emploi (certes de plus en plus rares à mesure que nous tendons vers le plein emploi à epsilon près, ce qui malheureusement n’est pas prêt de combler une pénurie cruelle de main-d’œuvre à laquelle même l’abolition des frontières intergalactiques ne peut remédier, au grand dam de la grande loge du Trou Noir de la Voie Lactée).
Pourtant, de mémoire plus ou moins bonne, les thèmes retenus avaient été le pouvoir d’achat, l’environnement, la sécurité, la santé, Boule, Bill, mais aucunement l’unemployment in the already great again France.
Alors, Mesdames, Messieurs les Juges, “les enfants, c’est pas open bar”.
Monsieur Emmanuel Macron est bel et bien une ordure.
Mais les people ont les mandatés administrant (et délégués syndicaux) qu’ils méritent.
Mettons en emphase que durant quelques mois, emmenés par les syndicats ressuscités, sur la première mort desquels avait jailli la Mort Macron en 2017, des french people s’étaient insurgés dans la rue, certains sautillant gaiement avec une pureté factice sur fond de flammes et de bataillons d’État militaro-policier, dans un paysage où furent fracturés et incendiés commerces et autres bâtiments.
Pourtant, que la Montagne est belle, comment peut-on s’imaginer que les mêmes syndicats n’aient pas suscité et emmené la colère de ces masses solidaires et altruistes quand en décembre précédant la fiesta supra, fut votée la loi surprenamment démente selon laquelle les modalités d’indemnisation des demandeurs d’emploi seraient calculées en fonction du pourcentage, toujours très objectivement et précisément déterminable et déterminé, des demandeurs d’emploi parmi les actifs?
Remarquons au passage, outre qu’effectivement il n’y a pas de lieu de chercher la raison dans des dispositifs déments, qu’il n’y a peut-être même pas de raison comptable dans cette mesure: moins indemniser quand il y a moins d’offres de travail, et la mesure contraire dans la situation contraire n’est pas des plus économes. Non, il s’agit semble-t-il, toujours d’écraser le peuple, mais de l’écraser avec démence.
Deuxième chemin de démonstration pour la conclusion: Emmanuel Macron est une ordure.
Ensuite, dans ce pays à zones de non-droit, de violences physiques, d’intimidations communautaristes, de juges communautaristes, de discriminations à l’embauche à l’âge des français qui n’ont pas la chance d’avoir des parents ou grands-parents maghrébins (vous me pardonnerez de charger un peu la barque), l’ordure exige qu’une femme, qui a appelé l’ordure par le terme “ordure” sur un réseau digital, soit sanctionnée par la djeustice.
Troisième chemin de démonstration pour la conclusion: Emmanuel Macron est une ordure.
Pour un soufflet, l’ordure a envoyé un djeune non issu de la diversité trois mois en prison, quand antisymétriquement, monsieur Chirac avait passé son chemin quand un djeune (il est vrai issu de la diversité) lui avait craché publiquement au visage; Alors que l’ordure aurait pu se contenter d’une contravention ou de quelques jours avec sursis.
Quatrième chemin de démonstration pour la conclusion: Emmanuel Macron est une ordure.
L’ordure prétend être blessée lorsque certains disent qu’elle a fait de la France une dictature, quand bien même elle n’est pas gênée par le fait que soient fichés S à leur insu des citoyens, quand bien même soit cela ne les empêchera pas de commettre des actes criminels quand leur fichage n’est pas politicard, soit aura pour seul effet de les décapiter socialement quand leur fichage est politicard.
L’ordure prétend être blessée quand circulent dans les espaces publics, comme une coutume désormais instituée du fait de l’échec qui est de ne pas avoir purgé la France de ses ennemis mortels, des militaires en tenues de camouflages pour jardins urbains.
Emmanuel Macron est une ordure.
Précision d’importance juridique: je pense qu’Emmanuel Macron est une ordure.