L’expérience batave, en la matière, est déjà d’origine lointaine et catastrophique. Pourtant, elle n’aura pas découragé les administrations européennes, dans leur volonté de promouvoir la drogue, qu’elle soit « vendue » comme analgésique ou comme une substance aux effets « récréatifs ».
Promouvoir est bien le mot. Car, si toutes les sociétés européennes ne sont pas prêtes à légaliser les produits stupéfiants, toutes sont vouées, comme programmées, à vivre prochainement sous leur joug ; ou, plus précisément, sous le joug de cette ploutocratie qui fait de l’argent avec tout, mais en premier lieu, désormais, avec la mort.
Les Pays-Bas avaient dépénalisé le cannabis, il y a plusieurs décennies, au nom du progressisme, avec les dégâts sociaux et sanitaires que l’on connaît.
Bien sûr, l’esprit du capitalisme, pour parler comme Max Weber, n’y était pas étranger, mais l’éthique protestante (pour citer une nouvelle fois le sociologue allemand) servait encore de paravent à cette vaste opération pécuniaire. Aujourd’hui, les grands argentiers occidentaux (souvent d’origine contrôlée) ne se cachent plus pour investir dans la drogue, sans pudeur, et là est la meilleure preuve de la première réussite marketing de leur entreprise de banalisation stupéfiante.
Les financiers avaient accompli, en 2022, un galop d’essai, en faisant légaliser la possession et la consommation de l’herbe verte, sur le territoire du tout petit état maltais. En 2023, ils firent de même avec l’opulent Luxembourg, état charnière du nord de l’Europe occidentale. La cannabisation du Grand Duché annonçait le pire. La mise sur rampe de lancement de l’Allemagne, au milieu du mois d’août de cette année, tendue vers le même objectif, condamne de facto la France à légaliser prochainement le produit abrutissant, suivant l’exemple germanique qu’elle ne saurait négliger.
Notre pays est d’ailleurs, la cible prioritaire des milliardaires sans foi ni loi. Une fois l’Allemagne droguée normalisée, nous ne voyons pas, en effet, comment notre nation pourra échapper à cette sombre dynamique.
Un zozo derrière l’accélération de cette entreprise de dépénalisation stupéfiante
Selon le projet de loi concernant la légalisation du cannabis (Le social-démocrate Olaf Scholz, chancelier de son état, avec sa coalition -Verts et libéraux- a fait de cette légalisation un des projets phare de son mandat), des centaines (et bientôt des milliers) d’associations « à but non lucratif » (la pratique ressemblera peu à la théorie, soyons en assurés) devraient être créées. Des associations que l’on fera semblant de contrôler et qui regrouperont, chacune, 500 adhérents. Une myriade de groupes, composés d’individus qui feront immanquablement la promotion de ce nouveau système toxicomanique, engendrant de nouveaux prosélytes qui, à leur tour, sèmeront les graines de la dépendance psychotrope par capillarité, dans toute la société. Gageons que l’épidémie ne se limitera pas au peuple teuton mais se répandra à tous ses voisins. Faut-il le répéter ?!
Les politiques, corrompus par nature, dans cette fausse démocratie du diable, ne sont plus que l’huile, le lubrifiant, la vaseline de cette épouvantable menée stupéfiante. Des chiens, des cabots teigneux, galeux mais vaccinés contre la rage. Des golems trépanés. Une belle bande de fumiers, juste bons à frapper le tampon de la légalité sur les documents rédigés à Francfort et à Düsseldorf, et qui estiment judicieux, d’appeler ces communautés de dégénérés des « Cannabis Social Clubs ».
Qui trouve-t-on derrière ce sprint final, précédant l’avènement du Meilleur des mondes ? Il existe toujours une minorité, il existe toujours une volonté nette, derrière ce genre de révolution. Dans ce cas, faut-il parler du milliardaire allemand certifié conforme, le transhumaniste féru d’hallucinogènes (à l’instar d’Aldous Huxley), le magnat de la bourse, l’insatiable investisseur Christian Angermayer. Cet homme au visage de démon est devenu l’actionnaire majoritaire de l’entreprise « allemande » Synbiotic SE, Numéro Un mondial, des boîtes investissant dans les drogues, devenues légales ici ou là. Mais c’est le directeur de cette entreprise, Lars Müller, qui en parle le mieux et qui décrit à merveille, le rôle déterminant de Christian Angermayer dans le nouvel essor du marché de la dope (attesté par le fulgurant regain de l’action Synbiotic à la bourse de Francfort, à la suite de la décision gouvernementale allemande de légaliser le cannabis) : Lars Müller, patient mais confiant, estimait ainsi, il y a quelques mois, avant le coup d’éclat d’Olaf Scholz, qu’il restait encore beaucoup à faire autour de la « destigmatisation » dans le secteur du cannabis, « dans lequel Angermayer pourrait jouer un rôle important. » Pas de doute, cet Angermayer, qui avait préalablement investi au Canada où l’herbe verte est déjà légalisée, a le bras long. Son bras droit, quant à lui, annonçait tout, il y a à peine deux ans, à propos de l’inexorable développement du commerce de leur lucrative drogue : « Au Canada, c’est déjà une plante bien connue. En Allemagne et en Europe, vous devez expliquer beaucoup de choses encore et dire qu’elle n’est pas cette drogue maléfique mais qu’elle sera quelque chose de vraiment bon. (…) La poussée de la société sur le marché canadien du cannabis, dont la taille a doublé l’an dernier (2021) pour atteindre 2,6 milliards de dollars canadiens, vise à introduire les produits et les actions de SynBiotic dans un marché plus mature, avait encore déclaré Lars Müller.
Bien que l’Allemagne soit la première démographie et la première économie européenne, elle n’est pas le premier marché cannabique d’Europe. Celui-ci est dévolu à la France dont la population a été pourrie par les media et les politiques, depuis de nombreuses années et par l’inlassable trafic de drogue, alimenté principalement par le Maghreb, que nous connaissons fort bien, trop bien peut-être. La cible, l’ultime cible n’est pas la terre de Wagner, mais nous !
Cette France, championne du monde de la fumette, et première destination touristique de la planète ! Ce projet de normalisation cannabique expliquant en partie, l’impeccable médiatisation actuelle de la très structurelle guerre des gangs qui sévit à Marseille, et qui obligerait les politiques à agir pour stopper l’effusion de sang, s’écoulant des sombres ruelles jusqu’aux avenues, de la triste cité phocéenne. Ou ce sempiternel discours de la légalisation, panacée officieuse contre la criminalité.
Au demeurant reste-t-il que le « shit » est un formidable abrutissant faisant accepter aux masses sous son empire, l’immigration massive. Peut-être un hasard, avant l’arrivée, exigée par la finance internationale, d’un million de nouveaux migrants (et ce n’est pas la dernière salve) en Allemagne ?
François-Xavier Rochette
Cela me rappelle un chef de l’Aviation Légère de l’Armée de Terre qui laissait un caporal appelé faire son trafic de “filtres marocains”, alors que le Capitaine d’escadrille avait bien précisé à notre arrivée qu’ici, on n’aime pas les drogués”; je me rappelle également qu’au cours de deux descentes de la Gendarmerie, les chiens n’avaient rien trouvé.
Le Chef aurait-il été en contact avec un agent de la Gendarmerie? Pas saugrenue comme hypothèse, vue que le caporal et ses potes s’étaient fait communiquer le moyen de téléphoner à l’extérieur à des contacts privés sur le réseau dédié aux communications militaires.
Et puis il était quand même assez courant que “ça fume” dans ma chambrée ; et même que le caporal business-monkey empêchait de dormir en mettant sa radio en sourdine toute la nuit. Si cela n’était pas notoire, c’est vraiment que les derniers sergents appelés devaient -c’est une image bien sûr- fumer.
Ah oui, tant qu’j’y pense, un autre chef qui avait ouï dire que le caporal avait été menaçant à mon encontre, m’avait suggéré de me le faire la nuit (façon Clovis sur vase). Oui, sympathique, mais les bouclettes de mes rangers me disaient que ça sentait le coup fourré, cette suggestion. Déjà que j’avais l’impression de me retrouver là-bas à cause de gens qui se seraient arrangés pour que j’y sois…
D’autant plus qu’un jour où j’avais squizzé le chef filtro-compatissant auprès de l’adjudant au sujet d’un autre sujet, le chef filtro-compatissant m’avait dit que si je le cherchais, il me poserait les lunettes dans le couloir et me planterait, et que de toutes façons, les militaires engagés avaient des avocats rien que pour eux.
Mais chhhhutt! Tout cela doit rester entre nous.
Remarque: Mais avec toute cette bienveillance, il va pouvoir partir à la retraite à 50 ans le Jack Reacher !
Précision: dans la mesure où sur LCI (je n’ai pas jeté ma télé) a été posée la question de savoir si les Français étaient prêts pour la guerre (authentique), je conseille (la dernière fois que je suis sympa avec le général -après tout, je ne suis pas une journaliste en quête de “copain de baise”) au général de bien choisir ses mobilisés.
Il paraît que certains ont attrapé le syndrome de Stockoscou.
Sans doute d’immondes Doriot.
Ou au moins des poucaves, z-y-va!
“façon Clovis sur vase”: comprendre “façon Clovis suite à problème de vase”.