« On veut tuer du Blanc » a-t-on entendu sur les barricades des Kanaks, tandis que les morts s’empilent et que l’île est couverte d’incendies criminels, de barricades insurgées et de barrage loyalistes.
Les forces du désordre institutionnalisé, dernier rempart de l’oligarchie font l’objet de tirs tendus dont l’un a déjà coûté la vie à un gendarme.
Tout laisse penser que la situation est bien pire que ce que les médias menteurs laissent entrevoir, tout laisse croire que les « autorités » sont dépassées. Le décret d’État d’urgence en est un aveu fort lisible.
Guerre raciale
Le critère de lecture de ce conflit avec une population demeurée à demi sauvage et il y a peu encore cannibale, est un critère racial.
On peut le déplorer ou s’en réjouir, le fait persiste. Ce conflit est bêtement, brutalement, simplement racial. Le vocabulaire employé sur les plateaux de télévision le révèle sans fard.
Ce conflit fut déjà sanglant dans un récent passé que la France a semble-t-il oublié – avec ses incendies domiciliaires, ses viols et ses morts comme nous l’avait raconté ADG avant que le Patron ne lui présente la facture.
Étincelle politique
L’étincelle qui a servi de prétexte à rallumer ce conflit est une sombre clause ouvrant le droit de vote aux métropolitains résidant sur l’île.
Métropolitains – entendez Blancs – contre Kanaks – noirs aborigènes du Pacifique.
La brutale simplicité de ce conflit doit beaucoup à la conscience raciale des Kanaks dont toutes les solidarités plongent leurs racines dans la parenté : famille, clan, tribu, race.
Les Blancs eux, pour cents raisons qui dépassent le cadre du présent papier, ont été dépouillés de leur solidarités naturelles.
Les Caldoches et les “métro” les réapprennent de façon accélérée. Quand les Orcs assiègent leurs jolies maisons, ils redécouvrent les vertus des solidarités primitives. Ils redécouvrent qu’ils appartiennent à une famille, à un quartier, à une nation, à une race.
Cela servira aux métropolitains de Métropole, car ces événements en Nouvelle Calédonie sont des prolégomènes à ce qui finira par se produire en France métropolitaine.
Terminus Haïti
Aujourd’hui, la France continentale est d’ores et déjà un nouveau Brésil, un pays créole de tant d’écœurantes façons. Il s’achemine pour devenir une sorte d’Afrique du Sud, où les Blancs qui ont fait le pays seront chassés de leurs foyers et égorgés, avant de se muer en un Haïti géant, enfin libérés des Français qu’ils auront fini de tuer et de chasser.
Noirs enfin seuls, enfin libres, livrés à eux même. Nuit sans fin de la civilisation, vagissement primal jusqu’à ce que toute mort s’en suive.
Sébastien Kerrero (Monsieur K)
Si les kanacks veulent être indépendants libre à eux
Pour le coup, ce n’est pas l’ordurerie et ses forces du désordre institutionnalisé qui sont franchement responsables, si ce n’est qu’en raison du fait qu’ils ont agi en contradiction avec la règle de la nécessité d’habiter depuis un certain temps sur cette île 165 E 22 S pour voter à des élections provinciales.
Cette règle est justifiée dans le cadre d’un processus de décolonisation qu’a rappelé l’ambassadrice de mes d—, i.e. des pôles, Rigolène Républicain.
Il est manifeste qu’accorder cette dérogation était un gage d’enclenchement vers une Indépendance.
Oui, qu’ils l’obtiennent. (J’en connais, même si l’un d’eux m’est plus étranger que quiconque comme dirait Nietzsche, qui ne sont pas particulièrement joyeux à l’idée qu’il n’y a pas si longtemps que cela, alors que des indépendantistes antillais étaient à deux bananes d’avoir gain de cause, ils ne l’ont pas eue).
Vive l’Indépendance des fourbes et imbécilissimes qui:
– s’obstinent à ne pas accepter le fait que l’immense majorité des Français des 18/19èmes étaient des ruraux et/ou dominés socialement;
– s’obstinent à ne pas accepter le fait que les esclaves étaient vendus à des esclavagistes par les chefs de leurs propres tribus;
– s’obstinent à ne pas accepter le fait que l’esclavagisme par des musulmans présente une extension dans le temps bien plus importante;
– ne reconnaissent pas que les descendants d’esclaves ne sont pas plus malheureux en terres extra-africaines ou occidentalisées que les descendants d’esclaves de Sparte, Rome, des Huns…;
– ne sont pas allés se battre pour libérer les yézidis des esclavagistes de Daesh;
– n’ont pas franchement relayé le fait que dans des universités Sud-Africaines, des jeunes femmes noires se sont faites violées par des jeunes hommes noirs;
– n’ont pas franchement relayé le massacre d’une assemblée de blancs dans une église sud-africaine, bien qu’ils avaient relayé copieusement le meurtre, par un jeune blanc de 19 ans, de noirs dans une église américaine, blanc condamné à mort et exécuté (Why not? After all) sous le très chrétien Aman Obama qui était allé après la tuerie chanter et danser évangéliquement (Why?) dans cette même église, Amen.
Et si eux et leur nickel tombaient aux mains de la Chine, des Philippines ou des états-uniennes Mariannes du Nord, ou de l’Australie, nous nous n’en serions pas plus (C)A.U.K.U.S.
PS: Vous arrêtez maintenant les Russes!
Avec vos cyberattaques!
Vous comprenez?!?!
Sinon cela va barder.*
*Pas sûr que l’Ordure ne trouve pas un prétexte avant le 9 juin, pour qu’il n’y ait pas de 9 juin (9 juin qui pourrait bien consacrer le empty chair power).
J’ai hâte de ne pas voter.