Jeudi 9 juin 2023 au matin, un “réfugié Syrien”, un “migrant”, “une chance pour la France”, en réalité un immigré clandestin demandant frauduleusement à jouir d’un droit d’asile devenu fou, un remplaçant, un soldat de la guerre d’occupation et de terreur menée à la France et à l’Europe à frappé comme la foudre.
 
Il a frappé d’un couteau des assistantes maternelles, il a frappé des enfants en bas âge dans leurs poussettes. Il a frappé les imaginations jetant l’effroi dans la foule hébétée, glaçant les masses par la terreur d’une menace pouvant s’abattre sur tous – jusqu’aux bébés – dans les recoins les plus calmes et les plus sûrs du territoire, comme un square d’enfants d’Annecy.
 
Cette Attaque d’Annecy, puisqu’il faut lui donner le nom que l’histoire retiendra pour marquer cette “première” qui ne manquera pas de reproduire, est une fable moderne. Cette histoire ne manque pas d’incohérences comme souvent dans ces attaques sidérantes, de Nice au Bataclan, des moines de Tibérine à Charlie Hebdo, d’Abdelhakim Dekhar à Salah Abdeslam, du commandant Beltrame à Samuel Paty.
En ce sens cette histoire est fabuleuse, elle fabule, elle affabule. L’assaillant qui s’est déclaré chrétien, aurait revendiqué l’attaque au nom de Jésus et aurait été trouvé en possession d’une bible. Ce sont en tout cas des éléments produits par les médias du mensonge de masse. 
 
Cette Attaque relève du registre de la fable car c’est un résumé exemplaire de contraction, une compression de l’époque.
L’auteur de cet acte inimaginable serait un réfugié Syrien qui aurait passé presqu’une décennie en Suède où il se serait marié, avant de se voir refuser le statut de réfugié, avant de tenter de l’obtenir en France… et d’y essuyer deux refus. 
Cette banale histoire de tourisme du statut de réfugié politique avec tous ces avantages en nature et en numéraire nous parle des choix catastrophiques pris par les oligarchies cosmopolites de France et de Suède ayant conduit ces deux pays au fond du gouffre migratoire où ils s’abîment.
Cette affaire est un fable en elle-même, les éléments de la dramaturgie étant proprement incroyables, fabuleux lorsqu’on veut bien les examiner à tête reposée. Nous ne contestons pas leur réalité, encore que la mise en scène plus ou moins complexe soit toujours possible, mais nous voudrions attirer l’attention du lecteur sur la façon dont cette histoire est narrée et comment elle s’insère dans le gouvernement par le chaos. 
Le régime du ferichisme de la marchandise spectaculaire que sont les démocratures juives ne veulent pas être jugées sur leurs résultats mais sur leurs ennemis.
C’est pourquoi, si l’horreur médiatique est à son comble, et quelques soient les mensonges ou leurs usages, il est utile de rappeler quelques faits généraux que la sidération terroriste cherche à sublimer : 
Pour compenser la baisse tendancielle du taux de profit, les oligarchies qui administrent la dette faramineuse de l’économie de la fausse monnaie importe massivement des ressortissants du tiers monde ayant traversé les traumatismes de la guerre terroriste des organisations islamistes takfiri pilotées sous faux drapeau par l’Otan afin de tirer les salaires et les coûts à la baisse. Il est inévitable qu’en important des esclaves atteints de syndromes post traumatiques, on devienne le tiers monde atteint de syndrome post traumatique. 
Il n’y a donc pas lieu d’être surpris ou ému. Ce qui était prévisible finit par se produire.
Cette Attaque n’est que la cristallisation de tout ce qui ne tourne pas rond dans ce pays failli qui fut naguère la France, maîtresse des armes, des arts et des lois. Cela fait plus de 120 ans que l’Action française averti des conséquences d’une mauvaise politique, du régime de l’Étranger, du règne de l’Ennemi. 
Ne vous épouvantez pas, ne soyez point au comble de l’horreur, ne perdez pas vos moyens. Cette Attaque n’a rien de surprenant. A faire entrer par paquets de mille des takfiri des zones de guerre contrôlées par l’armée turque de l’Otan, il fallait s’attendre à ce que les horreurs qui endeuillent la Syrie depuis 10 ans s’en vinssent sur nos rivages
 
Quelles solutions me direz-vous ? Remigrer tout ce beau monde, arrêter les guerres par proxy de l’Otan, mettre fin au laxisme en toute matière, remettre l’église au centre du village… mais avant, reprendre le pouvoir des mains des oligarchies génocidaires en abattant leur République du gouvernement par la terreur.
Car ne vous y trompez pas : ces attaques sont des actes de gouvernement. Je ne dis pas des actes du gouvernement. De gouvernement. Une fois encore, le Reichtag brûle.
Sébastien de Kerrero 
N'hésitez pas à partager nos articles !