Communiqué de l’Action Française : la tribune des militaires

Communiqué de l’Action Française : la tribune des militaires

« L’heure est grave, la France est en péril, plusieurs dangers mortels la menacent ». Tribune des militaires

Le soutien de 60 % des Français à la tribune courageuse et clairvoyante récemment signée par un certain nombre de généraux et de militaires, relative au délitement de la France est un désaveu pour la république.

« L’heure est grave, la France est en péril, plusieurs dangers mortels la menacent (…) Par contre, si rien n’est entrepris, le laxisme continuera à se répandre inexorablement dans la société, provoquant au final une explosion et l’intervention de nos camarades d’active dans une mission périlleuse de protection de nos valeurs civilisationnelles et de sauvegarde de nos compatriotes sur le territoire national. On le voit, il n’est plus temps de tergiverser, sinon, demain la guerre civile mettra un terme à ce chaos croissant, et les morts, dont vous porterez la responsabilité, se compteront par milliers. » Extrait de la Tribune.

Castex, Schiappa, Parly, Mélanchon et bien d’autres estiment cette tribune « contraire à l’honneur ». Or, nous constatons que cette tribune fait plus d’émoi dans le débat public et auprès des ministres que l’insécurité criminelle rampante et la présence en France du fanatisme islamique. Cette tribune n’est pas un appel au putsch mais à la sécurité. Il s’agit du cri de cette France qui n’entend pas disparaitre.

Incapable de supporter la moindre critique, la Macronie panique et le Général Lecointre, chef d’Etat-Major des armées va traduire les signataires de la tribune devant un tribunal militaire. Ce sinistre individu rappelle un de ses prédécesseur, Ailleret, massacreur de la rue d’Isly et servile exécutant de l’abandon de l’Algérie Française.

A l’heure où la nation est menacée de disparaitre, les patriotes et tous les Français de bon sens doivent replacer le politique au centre. La république qui gouverne mal mais de défend bien est incapable d’assurer la pérennité de la France. Le salut national ne peut dépendre de l’élection : le temps doit être au vrai changement… avant qu’il ne soit trop tard.

A bas la république et vive le roi.

Communiqué du Comité Directeur de l’Action Française. 

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Le roi Philippe 1er

Le roi Philippe 1er

Roi Philippe Ier, capétien. Naissance, mort, couronnement, règne. Capétiens

Michel Fromentoux, membre du Comité directeur de l’Action Française continue son travail pour permettre de mieux comprendre la formation de la France. Après Henris I er voici l’histoire du roi Philippe I er. Bonne lecture…

À quinze ans, Philippe 1er était en état de s’emparer personnellement du pouvoir. Roi depuis six ans, il avait été bien formé par son oncle Baudouin, comte de Flandre, lequel lui laissait un royaume relativement calme et une administration en ordre. En plus, Philippe était respecté et très aimé de tous, surtout des humbles ; la jeunesse féodale rêvait d’entreprises audacieuses, les foires et les marchés étaient en pleine floraison.

Partout se fondaient des églises, des abbayes, des monastères… Les routes s’emplissaient de longs pèlerinages. L’Église, sous l’autorité du pape Léon IX avait entrepris dès le milieu du XIe siècle une vaste réforme en vue de s’affranchir du pouvoir temporel, la primauté du pape était de mieux en mieux reconnue, et les moines, notamment les bénédictins de Cluny, avaient une influence croissante tant par l’exemple de leurs vertus que par leur prédication : ils étaient en train de préparer l’essor de la Chrétienté fondée sur l’amour de Dieu, sur l’esprit de pénitence et sur la charité. On assistait à une renaissance intellectuelle et artistique : apparaissaient déjà les grandes légendes épiques, tandis que s’épanouissait en Anjou en Bourgogne, en Aquitaine, dans la vallée du Rhône, l’art roman, l’une des plus harmonieuses réalisations du génie français.

Le royaume était encore loin de son unité, mais la personne du roi, image du père, justicier suprême, vicaire de Dieu, était considérée comme indispensable tant par les petits qui trouvaient en lui une protection contre les puissants que par les Grands eux-mêmes qui voyaient en lui le sommet de la pyramide féodale. On sentait comme une aspiration, encore bien confuse, à une unité politique, tandis que se concrétisait l’unité spirituelle : le rayonnement des moines de Cluny dépassait de beaucoup le cadre du royaume, la culture chrétienne se répandait sur toute l’Europe, et, avec elle, pour reprendre une expression chère à Charles Maurras « un langage commun pour les communications supérieures des hommes ».

Pour que cette Europe se développât au plus grand profit de la civilisation, il fallait qu’elle fût en paix. C’est pourquoi avaient un grand rôle à jouer désormais les Capétiens, eux qui surent toujours limiter leurs ambitions au seul possible et étaient naturellement amenés à combattre, au dedans comme au dehors, toutes les démesures…

Naissance du monstre anglo-normand

Le plus bouillant des jeunes féodaux était alors Guillaume de Normandie, que l’on appelait encore le Bâtard. L’Angleterre n’allait pas tarder à tomber entre ses mains comme un fruit mûr. En 1 066, mourut le roi Édouard le Confesseur, lequel, n’ayant pas d’enfant, avait promis la succession à Guillaume. Un certain Harold, de la puissante famille des Godwin, osa se mettre en travers et se proclama roi. Guillaume eut vite fait de se venger : il se ménagea l’alliance du pape Alexandre II, de l’empereur germanique, du roi de Danemark et débarqua le 29 septembre 1066 dans le Sussex, sous un soleil radieux. Le 14 octobre il remporta la victoire de Hasting, et, dès le jour de Noël, il fut couronné roi d’Angleterre à Westminster !

Pour le jeune roi Philippe 1er, la situation ne s’annonçait pas de tout repos : Guillaume le Bâtard était devenu Guillaume le Conquérant ; il restait, bien sûr, son vassal, mais il s’était élevé plus haut que lui ! Les rapports entre les deux hommes ne seraient guère faciles…

Pour Philippe 1er, la ligne était tracée : il fallait tout entreprendre pour affaiblir l’autorité de Guillaume en Normandie, et, dès que possible, travailler à détacher la Normandie de l’Angleterre. Aussi attrapait-il toutes les occasions d’intervenir dans les affaires normandes et de soutenir les seigneurs de cette province qui n’aimaient pas Guillaume. En 1 073, il encouragea le comte d’Anjou, Foulque le Réchin, qui disputait le Maine à Guillaume. En 1 076,  il s’allia au duc d’Aquitaine pour contraindre Guillaume à lever le siège de Dol. Ce fut un succès, puisqu’il en profita pour reprendre le Vexin (qu’Henri 1er avait dû naguère céder au père de Guillaume).

Très habilement, Philippe commençait à s’intéresser beaucoup au fils aîné de Guillaume, Robert Courte-Heuse. C’était un imbécile et un viveur, qui ne ferait pas très sérieux sur le trône d’Angleterre : cela, son père le savait ; et il lui avait déjà promis de le dédommager en lui donnant… la Normandie ! Or Robert Courte-Heuse (ce surnom lui venait de ce qu’il était trop court de cuisses) était un garçon capricieux, qui voulait tout et tout de suite. Tant mieux pour le roi de France, qui accueillit Robert et accomplit avec lui des actions de harcèlement sur la frontière du duché normand.

En 1 087, nouvelle guerre. Guillaume s’était mis en tête de reprendre le Vexin et pour ce faire il alla jusqu’à incendier Mantes. Puis il mourut à Rouen, abandonné de tous, après avoir partagé ses biens comme le souhaitait le roi de France : l’Angleterre à son fils cadet Guillaume le Roux, la Normandie à l’aîné, Robert Courte-Heuse, plus quelques terres et un peu d’argent au troisième fils, Henri Beauclerc. Angleterre et Normandie ne formaient plus un bloc : Philippe 1er allait-il pouvoir enfin souffler un peu ?

Cela aurait été compter sans la sottise de Robert Courte-Heuse… Cette tête folle dilapidait ses biens et se laissait dépouiller par ses maîtresses et par des intrigants au point qu’un jour il lui manquait même, disait-on, ses braies et ses chaussures et qu’il ne put se rendre décemment à l’office religieux… Son frère Guillaume le Roux, roi d’Angleterre, ne rêvait, quant à lui, que de réunir à son profit tout l’héritage paternel. Aussi, dès 1 091, il se jeta sur le duché de Normandie bien mal défendu par Robert et s’y tailla une bonne portion, prenant les villes d’Eu, Aumale, Gournay et quelques autres. Philippe, qui, en 1 066, n’était guère content de voir la Normandie conquérir l’Angleterre, l’était encore moins en voyant l’Angleterre conquérir la Normandie !

Or, soudain, les deux fils du Conquérant se réconcilièrent. Ils avaient entendu l’appel du pape à aller délivrer le tombeau de Notre-Seigneur des mains des Turcs Seldjoukides. C’était la Croisade. Philippe était tranquille pour quelques années…

La première Croisade

Première croisade — Wikipédia

C’était un magnifique élan de foi qui se manifestait alors dans tout l’Occident ; il était urgent d’unir les forces de la Chrétienté. Le 15 août, le pape Urbain II, devant une immensité  de pèlerins, dressait un tableau de la situation. Quelques mois plus tard, en novembre 1 095, au concile de Clermont, il lança un appel pathétique : que ceux qui gaspillaient leurs forces en querelles inutiles, que ceux qui n’avaient pas la conscience tranquille, que ceux qui se s’étaient comportés en brigands se rachetassent en devenant les « hérauts du Christ ! Ils y gagneraient le Ciel et sauveraient l’honneur de l’Occident ! A l’instant même, un grand nombre de seigneurs firent le vœu de partir, l’évêque du Puy reçut du pape la mission de diriger les opérations, des envoyés de Raymond de Saint Gilles, comte de Toulouse, vinrent dire que tout était déjà prêt, des messages partaient dans toutes les directions diffuser l’exhortation pontificale. On assistait à des scènes bouleversantes.

Même les classes populaires étaient ébranlées. Elles étaient suspendues aux lèvres de Pierre L’Ermite, un moine originaire d’Amiens qui parcourait, vêtu d’une tunique de laine et d’un manteau de bure, les villes et les villages. Le zèle de ces foules était tel qu’elles voulaient se mettre en route tout de suite sans attendre le signal de l’évêque du Puy. Dès le mois d’avril, les voici en marche derrière un pauvre chevalier, Gautier-Sans-Avoir. L’arrivée de cette cohue à Constantinople fit trembler l’empereur Alexis Comnène et sa fille Anne. Personne ne viendrait en aide à ces miséreux déjà décimés par la faim. Ils tombèrent dans une embuscade le 21 octobre 1 096 et furent tous massacrés par les Turcs. Il ne resta plus que des monceaux d’ossements sur la route de Constantinople à Nicée…

Une expédition grandiose

Pendant ce temps les seigneurs préparaient soigneusement leur expédition. Les plus grands barons européens s’étaient croisés : Godefroy de Bouillon, duc de Basse-Lorraine, – un personnage légendaire -, Raymond de Saint-Gilles, comte de Toulouse, Bohémond et Tancrède de Tarente, Normands de Sicile, Robert II, comte de Flandre, fils du Frison, Étienne-Henri, comte de Blois et de Chartres, Hugues de Vermandois, frère du roi de France, Robert Courte-Heuse, duc de Normandie, de nombreux chevaliers allemands et des foules de gens de toutes conditions. Par quatre itinéraires différents, les armées se rejoignirent à Constantinople. L’empereur Alexis Comnème souhaitait rester étranger à l’affaire, ce qui est tout de même singulier car, héritier de l’empire de César et de Constantin, il aurait dû se sentir le premier intéressé par la sauvegarde de la civilisation.

Le 19 juin 1 097,  les croisés réussirent à prendre Nicée, mais leur victoire fut escamotée par Comnène qui intriguait avec les Turcs. Qu’importe ! Il fallait avancer  malgré la chaleur et la faim : en juin 1 098 ils supportèrent bravement l’atroce siège d’Antioche. Leurs souffrances ne furent pas vaines : le 15 juillet 1 099, après une bataille acharnée, ils étonnèrent le monde entier en prenant enfin Jérusalem ! Quelle belle manifestation d’héroïsme et de foi chrétienne ! N’oublions jamais que c’était pour un idéal spirituel que ces chevaliers avaient agi. Même si leur trop plein d’énergie se révéla parfois dans l’anarchie, l’idée du salut éternel ne les quitta jamais.

Maintenant qu’il étaient à Jérusalem, plusieurs d’entre eux, estimant avoir accompli leur vœu rentraient en France. Mais beaucoup demeurèrent, sous l’autorité de Godefroy de Bouillon, qui prit le titre d’« avoué du Saint-Sépulcre », ne voulant pas se proclamer roi, sur les lieux où Jésus-Christ porta la couronne d’épines….

Que faisait le roi ?

Le roi n’avait pas bougé et beaucoup le lui reprochèrent. Un roi de France avait sa place dans cette belle page d’Histoire.

Il voyait les choses autrement. Aurait-il été prudent de laisser sans chef, pour un temps indéterminé, et sans garantie de revenir un jour, un royaume qui commençait à peine à tenir debout ? Le principal devoir d’un roi n’était-il pas de songer à l’avenir de son royaume ? Luchaire décrit Philippe 1er comme « un prince intelligent, pratique, doué d’un sens politique difficile à contester ». Il n’empêcha personne de partir, mais lui, pendant ce temps,  continuait de faire la France ; il œuvrait pour la pérennité des familles de ses sujets autant que pour le bien de la Chrétienté où la France était est un élément essentiel d’équilibre

Son sens de l’économie des forces se doublait chez lui d’une aptitude remarquable à utiliser les circonstances. Il ne lui déplaisait pas de voir les jeunes nobles dépenser là-bas leur énergie ; au moins il ne chahutaient plus ici. Et le roi pouvait travailler, avec la patience et la ruse d’un paysan à arrondir son domaine, se tenant à l’affût des successions vacantes.

Le malheur était que Philippe 1er contribuait à donner de lui-même l’idée d’un personnage sensuel, mou, indolent. Il faut bien se résoudre à dévoiler son secret : en contradiction totale avec l’élan de jeunesse qui secouait tout le pays, il s’était laissé engourdir par l’amour. Et, qui plus est, par un amour coupable ! Si Dieu le veut, nous le découvrirons la semaine prochaine.

Article paru dans le journal Rivarol

Michel FROMENTOUX

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Rapprochement Franco-Turc

Rapprochement Franco-Turc

La crise politique et médiatique surgie depuis plusieurs mois entre la Turquie et la France semble se calmer. Ce litige a commencé avec les provocations de la Turquie à l’occasion de l’opération Irini (une opération qui permettait à des navires de l’OTAN de contrôler les navires militaires turcs pour vérifier s’ils transportaient du matériel sanctionné par la communauté internationale et là par l’Union Européenne).

Les navires turcs ont refusé l’accès à l’un de leurs navires par des troupes maritimes françaises. En outre, ils ont procédé à une autre provocation en lançant des éclairages à l’encontre d’autres navires français, ce qui constitue un acte de guerre. Par ailleurs, le ton est monté entre Paris et Ankara à l’occasion du litige dans l’est de la Méditerranée quand la Turquie menaçait la sécurité dans cette région et procédait à des forages gaziers dans des zones maritimes qui ne lui appartiennent pas. La France a alors soutenu la Grèce et Chypre.

Ankara a haussé le ton en transformant la cathédrale Sainte Sophie en mosquée dans laquelle le Président Erdogan est est venu prier. Cette polémique a défrayé la chronique. Le ton est monté de plus en plus entre les présidents Macron et Erdogan qui n’a pas hésité à prononcer des qualificatifs désobligeants à l’encontre du Chef de l’État français.

Malgré ces agressions turques et cette menace sécuritaire qu’Ankara provoquait dans cette région, les Etats-Unis ne sont pas intervenus, en privilégiant leur allié otanien turc, alors qu’ils distribuaient depuis des années des sanctions à tout acteur politique qui n’était pas dans leur giron, même si cet acteur ne menaçait pas la paix et le sécurité mondiale.

Les Etat-Unis ont-ils voulu humilier la France et l’empêcher de retourner sur la scène politique internationale comme une grande puissance, jouissant de sa place au sein du Conseil de Sécurité des Nations Unies comme membre permanent, en lui infligeant une double gifle dans son bras de fer avec la Turquie et dans l’échec de son initiative au Liban ?

Nous avons appris qu’une initiative diplomatique menée par une délégation française et par un homme d’affaire franco-turc a oeuvré en vue d’apaiser cette tension franco-turque. Cette initiative aurait partiellement réussi. Les deux chefs d’État français et turc sont parvenus même à avoir une conversation téléphonique sans pour autant régler un autre litige relatif à l’octroi d’un titre de séjour à des enseignants français en poste à l’établissement d’enseignement francophone de Galatasaray. Ces derniers risquent toujours d’être expulser de Turquie.

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Macron annule sa visite en Arabie Saoudite

Macron annule sa visite en Arabie Saoudite

 

Macron devait se rendre en Arabie Saoudite pour rencontrer le prince héritier Mohamed Ben Salman. L’objectif de cette visite était double : intervenir dans le dossier du rachat de l’OM (Olympique de Marseille) par la Kingdom Holding Company détenue par le prince Al Walid Ben Talal, malgré les réticences du propriétaire actuel de ce club, Frank Mc Court, mais aussi intervenir auprès de MBS pour faire obtenir un rendez-vous entre ce dernier et et Saad Hariri, l’un des candidats à devenir Premier ministre du Liban (sa candidature semble être notamment appuyée par la Russie, selon nos informations).

Cela s’insère dans les efforts de l’Elysée pour trouver une issue à la crise politique que traverse le pays du Cèdre depuis le 17 octobre 2019.                                                                                                                                                                                   Selon nos information, la France se serait concertée avec la nouvelle administration Biden qui a fait état de changements géostratégiques et politiques au Proche et Moyen – Orient. L’initiative française pour le Liban devra attendre quelques mois pour avoir une chance de réussir. En effet, une campagne médiatique et politique américaine cherche à redimensionner le prince héritier de ce royaume.

Le Président américain élu, Joe Biden, appelle à s’adresser au roi Salman Al Saoud plutôt qu’à son fils, impliqué à ses yeux dans un crime contre l’humanité : celui de l’assassinat du journaliste Jamal Khashoggi en Turquie. Nous savons que le rapport de la CIA ne donne pas de preuves tangibles relatives à une éventuelle implication personnelle de MBS. Néanmoins, cette affaire est exploitée actuellement par la nouvelle administration américaine pour affaiblir le rôle que ce jeune prince jouait sous Donald Trump.

Ceux seraient donc ces raisons qui ont conduit Emmanuel Macron à annuler cette visite à Ryad et non pas à la reporter, comme il a été indiqué dans certains médias. Enfin, la popularité d’Emmanuel Macron a beaucoup baissé auprès de l’opinion publique libanaise. Quand il s’était rendu à Beyrouth, le lendemain de l’explosion du port (explosion ou attentat : aucune information n’a pu encore être établie à ce sujet), il a avait promis aux Libanais d’agir en vue de la formation d’un nouveau gouvernement, sous quinzaine. Rien n’a pu être fait depuis août 2020.

En outre, le Chef de l’État est accusé de favoriser le Hezbollah dans ses tractations, afin de se rapprocher de l’Iran qui est le soutien officiel de ce groupe politique libanais.

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Le 19 mars ou le Gaullisme assassin

Le 19 mars ou le Gaullisme assassin

 

 

Une tache indélébile sur le front du gaullisme

 Le 19 mars 1962 De gaulle Charles capitulait devant le FLN, en imposant à l’armée française, victorieuse, un cessez-le-feu unilatéral. Cet acte de trahison restera une tache indélébile sur le front du gaullisme. Il livra l’Algérie et le Sahara au FLN, enclencha le massacre des français musulmans fidèles à la France et le plus grand mouvement d’épuration ethnique du 20 ème siècle dont furent victimes nos compatriotes d’Algérie.

Une guerre  jamais finie

 Aujourd’hui La Vème république, camoufle le crime gaulliste et commémore La fausse PAIX d’EVIAN en présentant le 19 mars 1962 comme la date marquant la fin de «  la  guerre d’Algérie ». Soixante ans après, la guerre d’Algérie continue sous une autre forme : l’Algérie n’est plus française mais la France devient Algérienne. La république gaulliste  acquiesce aux oukazes du pouvoir FLN en faisant repentance et en ouvrant les portes à l’immigration-invasion de la population algérienne.

Liquider la Vème république gaulliste

Les français qui n’en finissent pas de payer le prix de la trahison gaulliste du 19 mars 1962, doivent se souvenir de l’exemple des patriotes d’Alger. Un comité de salut public, regroupant les civils et les militaires mit fin, en 1958, à la quatrième république. Ce qui fut possible en mai 1958 peut et doit se reproduire.

Le peuple français, menacé de disparition, ne retrouvera sa liberté et sa dignité qu’en abattant à la Vème république gaulliste.

Jean-Pierre Papadacci, membre fondateur d’Amitié et Action Française 

 

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