République en crise : travaillons à sa perte

République en crise : travaillons à sa perte

Après le choix d’un gouvernement à l’identique, le premier Ministre Lecornu a présenté à Macron sa démission au motif que « les conditions ne sont pas remplies pour gouverner », pointant du doigt les appétits du personnel politique de Marianne V, plus pourrie que jamais.
Union des droites, nouveau Front Populaire, dissolution de l’Assemblée Nationale, démission du Président, les partis politiques quels qu’ils soient donnent raison à ces paroles emblématiques de la Royale : « le pouvoir n’est plus que la proie que se disputent les partis ! »

L’Action Française rappelle l’urgence de faire comprendre aux Français que le régime n’est bon qu’à organiser des élections et à faire la valse des ministres et gouvernements. L’expérience de l’histoire montre que rien de bon ne peut sortir de telles institutions qui n’apportent que ruine, règne de l’Étranger et déboisement social.

Nous rappelons aussi ce principe de bon sens, c’est la république qui corrompt son personnel et non l’inverse.

Nos revendications ne sont pas catégorielles mais globales et révolutionnaires. L’heure est à la liquidation complète de la république qui a placé la patrie sous le joug de l’hyperstructure européenne, négatrice des identités. Travaillons à sa perte.

Il est urgent de réconcilier les Français avec leur histoire. C’est là, la condition première du redressement national.

À bas la république !

L’Action Française

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Quand la valeur MORT l’emporte sur la VIE

Quand la valeur MORT l’emporte sur la VIE

Quand la valeur MORT l’emporte sur la VIE

Une loi pour l’instauration du droit à l’aide à mourir vient d’être votée le 27 mai 2025 à l’Assemblée nationale.

Il serait donc en France bientôt plus facile d’accéder à l’euthanasie plutôt que de bénéficier de soins palliatifs.

Avec le vieillissement de la population et les dépenses de soins accrues, ce seront toujours les considérations économiques qui primeront.

On ne soignera donc plus, on ne soulagera plus, on tuera en faisant pression sur les personnes âgées, les handicapés, les patients atteints de graves maladies, qui seront poussés à réclamer qu’on accélère leur mort.

La franc-maçonnerie est à l’œuvre : Jacques ATTALI l’avait bien souhaité et prédit, tout comme la pandémie du COVID, dès 1981. Nous y sommes, et les loges applaudissent !

« L’euthanasie sera un des instruments essentiels de nos sociétés futures dans tous les cas de figure. Dans une logique socialiste, pour commencer, le problème se pose comme suit : la logique socialiste c’est la liberté et la liberté fondamentale, c’est le suicide ; en conséquence le droit au suicide direct ou indirect est donc une valeur absolue dans ce type de société.Dans une société capitaliste, des machines à tuer, des prothèses qui permettront d’éliminer la vie lorsqu’elle sera trop insupportable, ou économiquement trop coûteuse, verront le jour et seront de pratique courante. Je pense donc que l’euthanasie, qu’elle soit une valeur de liberté ou une marchandise, sera une des règles de la société future

Jacques Attali in Recueil d’entretiens menés par Michel Salomon « L’avenir de la vie » 

(Collection « Les Visages de l’avenir » Editions Seghers  – 1981)

Cette loi est une transgression majeure pour notre société : l’interdit de tuer n’existant plus, la boîte de Pandore est ouverte.

Ce vote du 27 mai n’est qu’une étape, et nous devons espérer que les discussions au Sénat permettront de modifier le texte s’il devait être définitivement adopté par l’Assemblée nationale

Cette loi mortifère précise qu’il reviendra à un médecin de prendre seul, in fine, la décision de prescrire une substance létale.

Et cette loi prévoit encore un délit d’entrave *à l’accès à l’aide à mourir, puni de deux ans de prison et de 30.000 euros d’amende !

Nous devons rappeler qu’une fin de vie ne se résume pas à un choix binaire entre souffrance et injection létale, et que les soins palliatifs doivent toujours être encouragés et développés.

Le corps médical doit de respecter le Serment d’HIPPOCRATE que nous avons prêté avant le début de notre exercice :  » … Je ferai tout pour soulager les souffrances. Je ne prolongerai pas abusivement les agonies. Je ne provoquerai jamais la mort délibérément« .

Le risque majeur avec cette loi, compte tenu de l’actuelle démographie médicale et de l’absence criante de structures de soins palliatifs, est qu’il pourrait bien arriver qu’il soit plus facile d’avoir accès à un soignant pour demander une aide à mourir que pour être soigné.

C’est pourquoi nous devons tous continuer à nous battre contre cette loi, « par tous les moyens, mêmes légaux »

                                    Docteur Luc Prunieres 

* Article L2223-2 du Code de la santé publique : 

Entrave à  l’interruption légale de grossesse :

Est puni de deux ans d’emprisonnement et de 30 000 euros d’amende le fait d’empêcher ou de tenter d’empêcher de pratiquer ou de s’informer sur une interruption volontaire de grossesse ou les actes préalables prévus par les articles L. 2212-3 à L. 2212-8 par tout moyen, y compris par voie électronique ou en ligne, notamment par la diffusion ou la transmission d’allégations ou d’indications de nature à induire intentionnellement en erreur, dans un but dissuasif, sur les caractéristiques ou les conséquences médicales d’une interruption volontaire de grossesse :

1° Soit en perturbant l’accès aux établissements mentionnés à l’article L. 2212-2, la libre circulation des personnes à l’intérieur de ces établissements ou les conditions de travail des personnels médicaux et non médicaux ;

2° Soit en exerçant des pressions morales et psychologiques, des menaces ou tout acte d’intimidation à l’encontre des personnes cherchant à s’informer sur une interruption volontaire de grossesse, des personnels médicaux et non médicaux travaillant dans les établissements mentionnés au même article L. 2212-2, des femmes venues recourir à une interruption volontaire de grossesse ou de l’entourage de ces dernières.

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COMMUNIQUÉ DE L’ACTION FRANÇAISE : MARINE LE PEN CONDAMNÉE

COMMUNIQUÉ DE L’ACTION FRANÇAISE : MARINE LE PEN CONDAMNÉE

Les technocrates de Bruxelles et la république en France entendent empêcher Marine le Pen d’être candidate à l’élection présidentielle.

Au-delà du mépris pour le peuple de France, le scandale de la peine d’inégibilité de Marine le Pen avec exécution immédiate ne peut que faire croître chez nos concitoyens l’idée que notre pays, privé de souveraineté depuis trop longtemps, est occupé par une oligarchie qu’il est nécessaire de renverser.

Autre enseignement : cette condamnation montre à quel point la stratégie de dédiabolisation engagée par Marine le Pen s’est avérée totalement contreproductive. Après avoir politiquement exécuté le père et engager le Rassemblement National dans un philosémitisme exacerbé avec la visite de Jordan Bardella en Israël, là-voilà judiciairement exécutée.

Puisse cette condamnation réveiller les Français de bon sens : rien ne pourra se faire sans la liquidation des institutions meurtrières que nous subissons. « La France aux Français » est à ce prix.

Politique d’abord !

             Le Comité Directeur de l’Action Française 

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COMMUNIQUÉ : BARDELLA ET MARÉCHAL EN ISRAËL 

COMMUNIQUÉ : BARDELLA ET MARÉCHAL EN ISRAËL 

Au nom de l’intérêt national, de la vérité et du rejet des impérialismes quels qu’ils soient, l’Action Française condamne avec la plus grande fermeté la droite casher qui, confondant arabes et islamistes, achète aux bourreaux de Gaza un électorat au prix d’un silence complice, celui du sang de l’innocent. 

Aujourd’hui comme hier, nous combattons pour la « FRANCE SEULE » et pour la séparation de la Synagogue et de l’Etat. 

L’accession de cette droite aux plus hautes responsabilités serait une catastrophe pour notre Patrie. 

« La démocratie c’est le mal, la démocratie c’est la mort » 

Rejoins-nous : https://www.lactionfrancaise.fr/adherer-en-ligne/

 Le Comité Directeur de l’Action Française 

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Communiqué : Jean-Marie le Pen 

Communiqué : Jean-Marie le Pen 

Avec la mort de Jean-Marie le Pen à l’âge de 96 ans le 7 janvier, un livre se ferme. Un conte de fée s’achève pour certains, celui d’une renaissance française par la démocratie, ce rêve que la démocratie est l’organisation politique et sociale qui tend à développer au maximum la conscience et la responsabilité de chacun (Marc Sangnier). Le Pen a porté avec un courage qui force l’admiration, et cela pendant des décennies, les espérances des « nationaux ». Il a dénoncé haut et fort l’invasion migratoire, la destruction de la Famille, et parfois même les méfaits de la maçonnerie et le judaïsme politique. Il a été celui en qui se sont reconnus les oubliés et les petits. En cela nous sommes admiratifs. Mais le Pen croyait en la démocratie et il ne reste plus grand-chose du parti qu’il avait fondé, aujourd’hui abominablement sioniste et pro LGBT. Car voici l’ADN de ce mouvement national : quand il a désespéré de domestiquer l’opinion, il s’est fait le laquais de celle-ci. 60 ans de combat politique, 60 ans d’énergies de tant d’hommes de bonne volonté gaspillées. Le constat est sévère mais les faits sont là. Nous le savons : c’est sans les urnes que nous restaurerons la France aux Français ! À nous de nous adresser à la foule immense des militants que Jean-Marie le Pen a soulevé. 

 

Qu’il repose en paix !

Le Comité directeur de l’Action Française

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« Refaire un peuple, restaurer la France »

« Refaire un peuple, restaurer la France »


Samedi 26 octobre 2024, proche d’Avignon

À quoi bon égrener la liste des maux dont souffre notre nation en décomposition si les solutions apportées sont obscurcies par les erreurs de l’intelligence (les pires de toutes, disait Maurras) ? Cela ne servirait qu’à faire le constat de notre propre déchéance.

L’Action Française, on le sait, a toujours eu à cœur de comprendre pour agir, et elle ne cesse de répéter ce principe essentiel : la formation précède l’action.

Si certains, et ils sont nombreux, pensent que le salut national peut venir de puissances ou de doctrines étrangères, nous autres, nationalistes, savons que les remèdes ne peuvent être que nationaux.

D’autres, encore, considèrent que le jeu démocratique peut sortir le pays du chaos. Nous leur répondons que jamais autant que sous nos yeux ne se sont vérifiées les analyses de l’Action Française : « la démocratie c’est le mal, la démocratie c’est la mort ».

L’étranger, le déracinement, la démocratie, tels sont les maux qui nous tuent.

Retrouvez l’Action Française, le samedi 26 octobre, lors d’une journée organisée en Provence sur le thème :

CONTRE LE DESESPOIR :

REFAIRE UN PEUPLE, RESTAURER LA FRANCE

Programme :

  • 10 heures : messe pour la France célébrée par l’abbé Xavier Beauvais à Maillane, suivie d’un hommage à Frédéric Mistral au cimetière.
  • 12 h 30 :  apéritif et buffet campagnard
  • 14 heures 30 : prises de paroles de Arnaud Jayr (paysan et professeur de philosophie), Pierre Hillard (essayiste, auteur, docteur en science politique, spécialiste du mondialisme), Philippe Champion (philosophe, auteur, membre du Comité directeur de l’Action Française), Jean-Claude Martinez (professeur de droit public et de sciences politiques, auteur, ancien député européen), Monsieur K (journaliste, chef d’entreprise, membre du Comité directeur de l’Action Française)

INSCRIPTION : https://t.co/NUk9fhWIcv

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