On a appelé « monarchie absolue », en France, un bref moment de l’exercice du pouvoir par la maison capétienne, entre 1661 et 1789, sous trois Bourbons : Louis XIV, Louis XV et Louis XVI. Le roman républicain nous enseigne que le premier aimait trop la guerre, le second se fichait de tout, et le troisième était un faible. L’histoire dit plutôt que ces trois grands rois, avec leurs limites, affrontèrent des temps très difficiles, maintenant le pays à flot malgré ses ennemis, en prenant leurs décisions indépendamment des forces qui s’exercent ordinairement sur le pouvoir : l’argent, le sabre, les castes et leurs idéologies. Maurras l’avait bien vu : la monarchie absolue, c’était la monarchie indépendante. Et Louis XVI, en rappelant les parlements, se soumit malheureusement à une dépendance dont la monarchie mourut.
La République française, telle qu’elle fut fondée en 1875, est, elle, dépendante de tout : de l’élection, de l’argent, des idéologies, de la rue, des castes – où il faut compter conseils et syndicats divers. Elle ne s’est libérée que d’un seul lien : celui qui l’unissait au peuple français. Et à la décence que tout homme doit à ses semblables. La République absolue, c’est la République indépendante de la nation et du bon sens.
Elle s’exerce aujourd’hui sans le moindre complexe. Anne Hidalgo, maire de Paris, qui gaspille l’argent du contribuable en atours somptuaires tout en donnant au monde des leçons de vivre-ensemble – sorte d’hybride entre Louise Michel et la Pompadour – est-elle épinglée par une association pour ses notes de frais ? Elle ordonne à ses services d’infliger de lourdes amendes à l’association qui a révélé son abus. Le système tout entier – de LFI aux Républicains en passant par le PC, le PS, EELV, Horizons, En Marche et tutti quanti – rend-il la France ingouvernable après la dissolution de 2024, avec l’ingénieux « barrage républicain » contre le RN ? Tout le monde accuse le président de la République de légèreté, d’autisme, etc., mais tout le monde continue de jouer le jeu avec lui, refusant la dissolution qui, en ramenant une majorité, débloquerait pourtant la situation.
Et Sébastien Lecornu – qui restera sans doute l’objet ministériel le plus biscornu de la Cinquième République – l’avoue tout de go : « Il existe une majorité absolue à l’Assemblée contre la dissolution. » Pardi ! Les neuf dixièmes des membres de cette majorité ne retrouveraient pas leur siège s’ils retournaient aux urnes. Sous le nom de stabilité, ils cultivent le patriotisme de leurs intérêts. Et, dans le même temps, ils défendent un système qui empêche toute solution.
Qui donc, déjà, disait : « La République gouverne mal mais se défend bien » ?
Ah oui : Anatole France.
C’était à une époque où les républicains conservaient encore un peu de lucidité.
Après le choix d’un gouvernement à l’identique, le premier Ministre Lecornu a présenté à Macron sa démission au motif que « les conditions ne sont pas remplies pour gouverner », pointant du doigt les appétits du personnel politique de Marianne V, plus pourrie que jamais. Union des droites, nouveau Front Populaire, dissolution de l’Assemblée Nationale, démission du Président, les partis politiques quels qu’ils soient donnent raison à ces paroles emblématiques de la Royale : « le pouvoir n’est plus que la proie que se disputent les partis ! »
L’Action Française rappelle l’urgence de faire comprendre aux Français que le régime n’est bon qu’à organiser des élections et à faire la valse des ministres et gouvernements. L’expérience de l’histoire montre que rien de bon ne peut sortir de telles institutions qui n’apportent que ruine, règne de l’Étranger et déboisement social.
Nous rappelons aussi ce principe de bon sens, c’est la république qui corrompt son personnel et non l’inverse.
Nos revendications ne sont pas catégorielles mais globales et révolutionnaires. L’heure est à la liquidation complète de la république qui a placé la patrie sous le joug de l’hyperstructure européenne, négatrice des identités. Travaillons à sa perte.
Il est urgent de réconcilier les Français avec leur histoire. C’est là, la condition première du redressement national.
Analysant le traité qui mit fin à la Première Guerre mondiale, Jacques Bainville fait une observation fondamentale. Si le traité de Versailles ‒ explique-t-il dans Les Conséquences politiques de la paix ‒ est un « mauvais traité », il l’est pour une raison essentielle, qui le met à part des conditions normales de la diplomatie. En contradiction avec les traités proprement politiques qu’avaient été ceux dits de Westphalie en 1648, et celui de Vienne en 1815, qui assurèrent de longues périodes de paix à l’Europe, le traité de 1919 est un traité « moral », premier exemple d’un genre devenu le plus commun de nos jours.
Et en quoi consiste cette nouveauté dont il est porteur ? « Remarquable par son imprévoyance », ‒ écrit notre historien ‒ ce traité ne tient aucun compte de la nature des choses, c’est-à-dire des grandes lois de l’équilibre des États. Désormais, l’équilibre qui s’établit, plus exactement qui vise à s’établir, c’est « l’équilibre irréel au lieu de l’équilibre réel » ; à des « lois physiques » sont opposées des « nuées » ; et ce sont de telles « nuées » qui animèrent en France les illusions pacifistes d’un Aristide Briand et conduisirent au déclenchement de la guerre suivante.
Il suffit de mettre en parallèle l’analyse serrée faite par Bainville des dispositions territoriales stupides édictées par le traité de Versailles, avec le pathos du discours de Nouvel An prononcé à l’Élysée en janvier 1927 par le nonce de Pie XI, pour comprendre à quel point on est alors sorti de la politique, à quel point lui a été substituée l’idéologie, et jusqu’où on s’est alors condamné à l’impuissance.
Quel enseignement pour notre temps d’absolu néant diplomatique, comme s’il fallait justifier une fois de plus, et par tous les chemins imaginables, la loi invariable énoncée par Maurras dès Kiel et Tanger ! C’est ainsi que, derrière le sous-titre La République française devant l’Europe, sont frappées les dures sentences de « l’inertie et (de) l’instabilité de la démocratie », de sa prétendue diplomatie comme « aventure d’un romantisme échevelé » et, radicalement, « escompteuse d’irréel ». Pesons bien ces derniers mots !
Perpétuellement insurgé contre la réalité, toujours tendu dans sa résistance aux contraintes qu’un minimum de souci d’efficacité devrait imposer à l’action politique, l’homme moderne se rue dans un volontarisme obsessionnel, par lequel il prétend toujours faire plier le réel à ses caprices idéologiques. Hubris, certes ! le seul péché irrémissible selon nos maîtres grecs. Mais à considérer aujourd’hui les prétentions à la diplomatie de la République macronarde, avec son ignorance de l’Histoire, sa méconnaissance de la géographie, tant physique qu’humaine, sa parfaite indifférence à ces grandes lois de l’équilibre des États, et d’ailleurs, son encyclopédique inculture, on pense plutôt à l’esprit d’une cour de récréation d’école primaire, où règne le pathos le plus puéril, dans lequel il n’y a que des gentils et des méchants : on dirait qu’on serait les gentils ! On joue les gentils contre les méchants, et c’est la crise de nerfs à la moindre entorse à la règle arbitraire qu’on s’est fixée ; au sommet de son caprice, on pleure et on trépigne de rage si quelque chose ne se passe pas comme on le veut. Règne du faire-semblant, le semblant de l’action, étant bien pire en politique que l’inaction, et dont il n’y a quel enfant qui puisse se satisfaire. « Où l’action conviendrait s’étale la phrase ». Mais la Cité n’est pas une cour de récréation.
Nous l’avons déjà fait observer ailleurs : « Malheur à la ville dont le prince est un enfant », mais malheur plus grand encore si c’est une puberté contrariée qui conduit les œuvres de ce triste prince !
Maurras, qui voyait juste et loin, ajoutait alors que « personne n’a le droit d’exposer la patrie pour un conte bleu », que sous prétexte de diplomatie, « la France républicaine (…) demeurera condamnée à des manœuvres gauches, énervantes et plus que dangereuses pour l’intégrité du pays et l’indépendance des habitants », et il concluait que « le démembrement est au bout » ; pour terminer sans ambiguïté, il annonçait que le régime républicain conduit inévitablement à « la disparition de la France ».
C’est ainsi que, sous nos yeux, un siècle et demi après Kiel et Tanger, le cahier des charges du régime républicain arrive à son terme, et l’action de l’actuel gouvernement le met si cruellement en pleine lumière qu’il n’y a guère qu’un mot en trois lettres pour qualifier aujourd’hui celui qui ne le remarque pas. Notre cahier des charges à nous est au contraire celui de la Renaissance !
Il est vrai que nous connaissons la capacité de la République à faire le mal et que plus rien ne peut nous étonner.
Mais si nous sommes convaincus que rien de bon ne peut sortir de pareilles institutions, force est de constater que le personnel politique ne manque pas d’imagination et excelle dans l’infamie.
En effet, au florilège des méfaits républicains de ces derniers temps, on retiendra surtout l’unanimité avec laquelle les députés ont voté le 2 juin dernier, la proposition de loi de Gabriel Attal : élever Dreyfus au grade de général ! (Et pourquoi pas au grade de maréchal de France puisqu’on y est ?) Véritable union parlementaire dans la trahison, cet acte, quoique n’ayant rencontré que très peu d’écho, en dit long sur l’état de putréfaction avancé du régime.
D’abord (cela saute aux yeux de tout patriote de bon sens) : par cette législation, les misérables laquais de Tel-Aviv qui prétendent représenter les Français nous donnent raison : il n’y a pas en République de séparation entre l’État et la Synagogue. Cette élévation de Dreyfus au grade de général de brigade montre que « l’Affaire » est loin d’être terminée.
« Le capitaine Dreyfus est bien plus grand que le capitaine Bonaparte. Il a conquis la France et il l’a gardée », écrivait Louis-Ferdinand Céline (1).
Chaque nouvelle revanche de Dreyfus doit renforcer encore davantage notre volonté de libérer la France de cette immonde République, règne de l’étranger. Il fallait voir d’ailleurs quel était l’enthousiasme des élus de la droite casher de Marine Le Pen, si prompts à se présenter continuellement comme les derniers remparts de l’honneur français… Rien n’est plus insupportable que de voir ce parti de renégats acheter aux bourreaux de Gaza un électorat au prix d’un silence complice, celui du sang de l’innocent.
Jamais nous ne répéterons assez le danger que constituent les fausses oppositions républicaines, qui entretiennent l’espoir d’une renaissance française par les urnes et qui gaspillent l’argent, les énergies et le peu de temps qu’il reste aux Français pour sauver ce qui peut encore l’être. Ces fausses oppositions font en réalité partie du problème. Notre travail doit aussi et surtout consister à casser ce rêve démocratique des Français et à dénoncer l’imposture des partis, quels qu’ils soient.
« La Maçonnerie, (…), a peu à peu accaparé, confisqué la République qui est devenue sa chose, sa vache à lait, sa métairie. Et c’est ce qui explique que les ——, maîtres de la Maçonnerie, soient par là même maîtres de la France », écrivait Édouard Drumont (2).
Les États confédérés que l’Action Française dénonce et combat ne sont pas un mythe : la réalité saute aux yeux. La France est occupée et Dreyfus est plus présent que jamais. La seule manière de le combattre efficacement est d’en finir avec la République, ce cancer qui ne cesse de métastaser.
« Philippe Prévost a composé son livre – Vraie et fausse laïcité – sur la laïcité et son histoire, plus exactement sur les variations de l’idée de laïcité dans l’histoire, sur la manière dont s’opposent, se confondent ou bien finissent par s’harmoniser un pouvoir temporel et un pouvoir spirituel, tous deux consécutifs, l’un avec l’autre, de l’ordre humain. »
Abbé Guillaume de Tanouärn
En France, le concept de laïcité a été conçu au XIXᵉ siècle comme une machine de guerre contre le catholicisme par une coterie judéo-protestante.
La laïcité “à la française” se présente en outre, sous la plume de Vincent Peillon, ancien ministre de l’Éducation nationale, comme une nouvelle religion qui coifferait les autres religions et apporterait à la République ce supplément d’âme qui lui manque.
Religion de liberté, pensera-t-on…
Face à cette fausse laïcité, il existe heureusement une vraie laïcité et donnée par le Christ.
En partant de l’observation, Aristote a constaté que l’homme était un animal social, que les idées sont des faits de nature et qu’il n’est donc nul besoin de faire intervenir les dieux pour expliquer la politique ou le droit. Le Christ alla plus loin puisqu’il sépara la politique du religieux. Il ne les opposa pas mais les distingua : à César les corps, à Dieu les âmes.
Distinction facile à faire en théorie mais difficile à réaliser en pratique, comme on le constate dans l’histoire. Tantôt (comme dans le Haut Moyen Âge) on assista à une confusion du spirituel et du temporel, tantôt, après la réforme grégorienne, le ciel voulut dicter sa loi à la terre, alors que depuis la Réforme et la Révolution, nous assistons à l’inverse. Tant et si bien que depuis le Concile Vatican I, certains papes comme Pie IX et Pie X ont revendiqué une pleine indépendance pour l’Église. D’autres papes, comme Léon XIII, Pie XI et ceux du dernier Concile, sont revenus à une politique de collaboration : celle du Ralliement… Mais alors, « un pape a-t-il le droit d’excommunier ses fidèles pour des raisons purement politiques ? »
De toute façon, par sa nature même, l’État a besoin de l’Église afin d’éviter de devenir totalitaire. Comme le disait Pascal : « la tyrannie consiste en un désir de domination universelle et hors de son ordre ». L’Église de son côté a besoin de l’État : « elle veut vivre avec l’État dans la communauté particulière où les deux représentations se tiennent l’une à côté de l’autre, comme des partenaires », comme l’a voulu le Christ. La saine laïcité, c’est finalement un équilibre entre deux cités émanant toutes deux de Dieu mais sous deux angles différents…
« Allant sans crainte au plus profond du jeu humain, Philippe Prévost découvre que l’on ne peut envisager la politique sans sa finalité spirituelle, ni le spirituel sans une incarnation politique. Appuyé sur les meilleurs historiens, Georges de Lagarde, Michel Villey ou Jean-Marie Mayeur, sachant résumer les situations les plus complexes avec une clarté fulgurante, mettant sans cesse la clarté de son esprit d’historien en concurrence avec les intuitions de son tempérament de chercheur, notre auteur nous emmène dans un extraordinaire périple théologico-politique dans lequel se construisent, temporelle et spirituelle à la fois, toute l’aventure humaine, telle qu’elle s’est jouée des origines à nos jours en Europe. »
C’est cette histoire mouvementée où les torts ne sont pas tous du même côté, loin de là, que retrace ce livre clair, concis, argumenté. Un sommaire détaillé permet de trouver une réponse à ses interrogations ou défis.
Vraie et fausse laïcité, Philippe Prévost, Éditions d’Action Française, 14 €. A commander sur notre boutique en ligne : https://editionsdactionfrancaise.fr/
Les mégots dans le sable m’ont toujours dégoûté, c’est presque aussi pénible que ces gens qui emmènent au matin leur chien faire ses besoins là où les enfants feront un peu plus tard leurs châteaux. J’en ai pourtant tiré jadis un bon profit, cinq centimes de franc pour deux filtres, au prix du sucre d’orge, c’était une manne. Mais il est maintenant interdit de fumer sur la plage, ainsi l’ont décidé les petits enfants de 68. Ils en paraissent fiers et satisfaits. Une avancée, disent-ils. Plus surprenant, les Français d’ordinaire ronchons ne regimbent pas. Il semble devenu bien, reçu et légitime d’interdire. Pourquoi ? Parce que c’est mal de fumer.
Admettons. Mais ce n’est quand même pas mal au même point que tuer, violer, voler, ou voter pour l’extrême droite. Il y a des tas de choses qui sont un peu mal et qu’on n’interdit pas sur la plage : casser les oreilles des voisins avec des sons divers, parler comme un charretier, manger des saletés, laisser des papiers gras, et tant d’autres… Pourquoi ce consensus, pourquoi cette ardente obligation reconnue par tous de ne pas fumer sur la plage ? Quelle est la leçon de cette morale ? Elle est double, je crois. Fumer à la plage lèse à la fois le sentiment général et la raison.
Nous sommes convertis, au Nord et à l’Ouest, au devoir supérieur de nous sauver en sauvant la planète, ainsi nous le disent, impératifs et catégoriques, la Santé et l’Environnement. La plage est le lieu du retour à la nature et sa pureté, le contact avec ce grand tout primordial qu’est la mer, nous ne devons pas plus la souiller que nous ne devons souiller ou laisser souiller nos propres poumons. Ce serait une incivilité XXL. Au moins là, au moins une fois par an, quitte à se gaver de bulots mayonnaise pour compenser, soyons irréprochables. Ainsi apaiserons-nous notre fragile sensibilité et pourrons-nous rôtir heureux.
Mais il y a plus important encore : le respect de la raison supérieure qui régit désormais l’humanité. Même si nous n’éprouvions pas dans notre chair qu’il est mal de fumer à la plage, même si l’instinct ou l’intuition ne nous le suggérait pas, nous le saurions sûrement parce que la Science nous le dit. Elle a établi que les tabagismes actif et passif sont des nuisances pour la santé publique, et que la combustion des cigarettes et leurs déchets polluent. Il n’y a plus besoin de commandements, de code ni d’Églises pour dire le bien et le mal : la Science souveraine les détermine. Le consensus scientifique est la voie, la source et la voix de notre morale. Il est notre vie, il suffit de le suivre en toute occasion, à tout moment. De l’intime à la politique, il nous guide tout et tous, en tout. C’est très reposant.
Mme Figueres, patronne de la CCNUCC (Convention-Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques) et comme telle principale artisan des Accords de Paris sur le climat en 2015, l’a très bien expliqué. Au sommet de Doha, en 2012, elle définissait le « processus global du changement climatique » comme « une transformation complète de la structure économique mondiale ». Puis elle précisait : « Nous influençons les gouvernements, le secteur privé et la société civile pour réaliser la plus grande transformation jamais entreprise. La Révolution industrielle transforma également le monde, mais elle n’était pas guidée selon une perspective centralisée. Il s’agit ici d’une transformation centralisée parce que les gouvernements ont décidé d’écouter la science. »
Comme les maîtres de la révolution arc-en-ciel : écoutons la science, ne fumons pas à la plage, et dormons sur nos deux oreilles.
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